En réponse au message de 50_nuances_de_bi :
Une chose à éviter si c'est possible selon la formule : "no zоЬ in job"
dans un premier temps ca peut être positif de travailler avec la personne que lon aime mais si ca tourne mal et que lon se fache, se retrouver au taf avec elle c'est pas facile à vivre
et même si ca se passe bien se retrouver au travail et en privé on peut saturer de voir cette personne au bout dun moment même si on l'aime
mais bon facile à dire, l'amour à ses raisons que la raison ignore (surtout qu il ta laissé supposer des choses par son comportement)
en même temps faut pas tirer une conclusion hative : cela fait 2 fois que tu tombes amoureux dun mec marié et pas 5 ou 10
si cest que pour le sехe à la rigueur ca va, mais si cest aussi pour des sentiments ca a un coté frustrant
Souvent les mecs bis sont instables amoureusement faut le prendre en compte ils savent pas ce qu ils veulent son perdus
une derniere chose jai entendu plusieurs fois que si une personne que tu aimes et qui est en couple (homme ou femme) quitte pas son ou sa partenaire (mariés ou en couple) dans les 6 mois qui suivent votre rencontre, en général elle ne la quittera pas
Рutаіп! La vieille rengaine des bi instables!!! Ça m’avait pas manqué. C’est vrai que les heteros sont souvent moralement irréprochables !
Et les généralités faciles... un mec qui quitte pas sa femme, mais qui s’autorise un aventure, c’est peut être juste parce que il aime deux personnes? C’est sur que le général laisse place aux exceptions, mais pourquoi faudrait-il toujours établir des règles sorties de nulles part? Pourquoi une personne devrait elle détruire une relation a laquelle elle tient pour une relation plus récente qui la fait planer?
C’est jamais une question de règle! C’est une question de sentiments, et peut être de pulsions. Un bi, un gay, ou un hetero, marié ou non, à des sentiments ou des pulsions. ou pas! Ou plus!! Ses actes Dépendent d’abord de ces deux paramètres, et ensuite de sa volonté et capacité à les gérer.
Les heteros ne sont pas les gentils de l’histoire, pas plus que les homos n’en sont les vaillants moralisateurs!