Je t'en prie, Climax. C'était un рlаіsіг de te lire et de voir ton poème maturer de jour en jour.
L'absence de césure à l'hémistiche accélère le rythme avant le dernier tercet. C'est bien fait ; bien pensé.
"De la déchirure infiniment terre-à-terre" n'a certes pas de coupe à l'hémistiche, mais les raclements des allitérations en "r", et la longueur de la prononciation de "déchirure" ralentissent ce vers.
Nous ne sommes manifestement pas d'accord...
Quant à la fin, je pensais à Simon : il faut que je demande à son frère dans lequel des douze cimetières de Loulé (soixante-dix mille habitants) il est, avec sa grand mère morte plus que centenaire en ayant le double de son âge. Et, même si c'est important pour moi, je sais que je ne verrai qu'un monument : mais je penserai à Simon.
Je te remercie pour cette explication. Elle confirme l'idée que je me faisais du dernier vers.
Pour ce qui est de la version finale, je pense que tu as trouvé la bonne solution pour le huitième vers. Sa version précédente n'était pas mauvais, mais celle-ci apparaît comme une évidence.