En réponse au message de gill92 :
Ça me fait penser à un débat assez passionnant que j'ai suivi sur BFM. Une personne disait qu'à trop augmenter les libertés individuelles, au bout d'un moment elles limitaient la liberté collective. C'est ça que tu veux dire non?
Toute la difficulté est donc de positionner le curseur au bon endroit pour que les libertés individuelles n'empiète pas trop sur la liberté collective.
Non. Je ne parle pas de liberté collective. Ca n’existe pas. La loi est collective, car elle doit etre definie pour et applicable par tous. Mais une liberté ne peut s’exercer qu’individuellement. Car quand un groupe prend une decision collective, il y a forcément une part du groupe quu percoit le vote comme une contrainte.
Je parle de sécurité collective.
Expliquez moi a quoi cela vous sert d’etre libre de vos mouvements et actes si le prix a payer c’est vous faire exploser la gueule dans le metro, ou au centre commercial?
Comment voulez-vous qu’on assure une sécurité si on ne met pas en place une surveillance, laquelle est par nature intrusive ? A quoi sert cette surveillance si elle ne se traduit pas par des mesures de rétorsion ou d’isolement ? Comment nos forces peuvent elles être efficaces si on ne reconnaît pas leur autorité, si on conteste sans cesse jusqu’à la nature même de leur métier ?
Il y a quelques années les musulmans de france ont été appelés a faire le maximum de désordre. Peut importe comment. Vol, incendie, agression… pourquoi a votre avis, sinon pour mettre la pression aux force de l’ordre? C’est pas un hasard si les violences policières sont plus nombreuses, si le metier est de plus en plus penible, pour remttre en liberté des délinquants qui ont toujours plus de droits. Pourquoi croyez-vous qu’il y a autant de malaise, qu’on a du mal recruter des fonctionnaires (la rémunération n’est pas seule en cause), et sue les recrutements sont par conséquent de moins en moins qualitatifs?
Tout ça c’est le résultat de cet appel au desordre, quj s’accompagne d’un trop grand laxisme des pouvoirs publics.
L’individu veut toujours plus de droits, d’argent, de liberté. Mais de moins en moins de contraintes. Et moins en moins d’efforts en retour. Meriter, c’est pas normal! Echanger, cnest pas normal. Solidarité, c’est normal qu’a sens unique.
La solidarité c’est du collectif. Et in se vante souvent de cette valeur. On ne peut pas se pretendre solidaire si on n’est pas soucieux du collectif. Le collectif doit toujours primer sur l’individu. C’est la condition au bon exercice de la liberté individuelle