En réponse au message de climax007 :
PS : oui, ici, Hermann à mes côtés - notamment - exprime le point de vue du Capital (il ferait un excellent "sherpa" d'un dirigeant gouvernemental européen, il en a le langage et il adopte le point de vue qui privilégie "La France ", ou "L'Allemagne" sans que l'on sente aucunement qu'il y a des Français ou des Allemands).
Exemple, les investissements chinois au Portugal !
Il nous exprime que les capitaux chinois pullulent dans le système hospitalier et nous explique un rapport de puissance entre capitalismes européens dans leurs tractations.
Je ne fais pas du tout le "sherpa" d'un dirigeant gouvernemental européen. J'essaie juste de nuancer les propos copiés et collés par Textoo dans son sujet, et dont on fait ici les gorges сhаuԁеs : ils proviennent d'un auteur bien connu...
Bien que je ne sois pas "macronien", je pense que Macron n'est pas aussi démuni face à Merkel que cet article à charge ne le laisse penser. J'emploie les termes de France et d'Allemagne pour répondre à cet article qui les emploie également. Son auteur essaie de décrédibiliser un Macron trop peu nationaliste et pas assez libéral à son goût, pour mieux étayer ses projets d'Europe française, sans parler de sa volonté de suspendre l'application du Code de travail dans les zones à fort chômage, ou supprimer le budget de l’Éducation nationale.
Et oui, je pense en termes institutionnels parce que ses institutions existent en bien comme en mal. Et j’œuvre pour essayer d'en tirer les bienfaits au lieu de jeter le bébé avec l'eau bain. A trop vouloir contester cette France institutionnelle au sеіп d'une Europe institutionnelle, on cultive sans le vouloir les égoïsmes nationaux des peuples qui font en ce moment si bien recette au sеіп du débat démocratique.
Et effectivement, le système portugais de santé souffre des consortium chinois (je ne les ai en aucun cas défendus). Lorsqu'il propose de limiter les capitaux étrangers, je trouve l'idée de Macron plutôt bonne pour préserver un peu mieux notre indépendance, et nos services publics de la logique - injuste socialement - de rentabilité.
Ce n'est pas le cas de l'auteur de cet article qui souhaite supprimer la fonction publique hospitalière et ouvrir les marchés chinois à la libre concurrence : il se gargarise du rejet opposé à Emmanuel Macron ; un rejet qu'il imрutе uniquement à l'Allemagne sans rien expliquer du fond afin de cultiver l'antagonisme France/Allemagne et réveiller la fierté nationale à l'aune d'une forme de germanophobie mal assumée.
Alors, allez-y ; continuez à applaudir cet auteur !