De la part de ceux qui estiment mon ego bouffi de suffisance, tel celui d'un Néron, ou d'un Kim-il-Sung, tandis qu'ils s'escriment à brosser mon portrait en aristocrate hautain, inaccessible, méprisant "la plèbe", et qui plus est "communiste", c'est-à-dire à les entendre aspirant à la tyrannie, parmi toutes les couches de peinture qu'ils et elles appliquent,
je ne distingue pas le commencement d'une critique d'ordre stylistique, la seule qui pourrait m'intéresser.
La paresse serait-elle leur plus grande distinction ? Allez, les contempteurs, encore un effort pour formuler l'utile critique littéraire que j’accueillerais volontiers, au lieu de débiter des sornettes.