En réponse au message de hev33 :En réponse au message de tom.pillibi :
Travailler moins est une avancée sociale car le travail de nos jours est difficile.
Avoir des RTT n'est-il pas aussi une avancée sociale ?
D'où la prise en compte de la pénibilité. Ca n'est pas les heures de travail qui posent problème mais les conditions justement.
La solution ne réside pas que dans le moins d'heures mais plutôt dans la qualité du travail justement.
En réponse au message de tom.pillibi :En réponse au message de hev33 :En réponse au message de tom.pillibi :
Travailler moins est une avancée sociale car le travail de nos jours est difficile.
Avoir des RTT n'est-il pas aussi une avancée sociale ?
D'où la prise en compte de la pénibilité. Ca n'est pas les heures de travail qui posent problème mais les conditions justement.
La solution ne réside pas que dans le moins d'heures mais plutôt dans la qualité du travail justement.
Je ne sais pas si tu ferais un bon délégué syndical !
Le nombre d'heures posent problème également......
Tu images dire aux salariés " bon, maintenant vous pouvez faire 45h comme nos grand-parents car nous avons mis en place une qualité au travail irréprochable, les 35h étaient seulement une petite ехрéгіепсе ainsi que les 39h....", enfin !
Je ne sais pas si les ouvriers accepteraient de revenir à 45h même avec de bonnes conditions de travail.
La pénibilité, oui !
Mais à l'heure actuelle, tous les métiers sont pénibles !
Policier, prof, aide soignante, caissière, femme de ménage, garagiste, etc.....et la liste est longue.
La pénibilité est désormais physique et morale.
Les avancées sociales sont caractérisées par toutes sortes de critères :
- meilleure condition de travail
- augmentation de salaire
- embauche du personnel
- travailler moins
- respect du code du travail en vigueur
D'où merci les 35h....
Il ne faut pas critiquer les 35h, mais notre salaire.
Si nous avions au moins 2000euros/ mois pour les bas salaires, nous n'aurions pas la volonté de faire des heures supplémentaires ( qui freinent l'embauche ).
Les bas salaires à minimum 2000euros/mois,
Et les plus hauts à 5 fois max le salaire minimum.
En réponse au message de menxy :
Si on avait 2000€ minimum on ne tarderait pas à avoir besoin de d'un spic à3000€.
augmenter le coût du travail surtout à ce point ferait grimper les prix de produits et services en flèche. et saperait lourdement les exportations.
faut vraiment penser court pour faire des propositions pareilles.
En réponse au message de octavo :
Le smic à 2000 € pour les bas salaires, pourquoi pas. On peut toujours rêver.
Mais cela ne tient que dans la logique des très grandes entreprises, où effectivement on voit quelques salaires mirobolants prélevés par les dirigeants.
Mais c'est vite oublier que les grandes entreprises, même si elles font la une de l'actualité, ne sont pas les premiers pourvоуеuгs d'emplois. Ce sont les PME et les TPE ...
Or dans les petites entreprises, il est rare de voir la direction flamber et du coup, si on considère la mаssе salariale et de rémunération globale on est bien loin de pouvoir tenir le smic à 2000 €.
La mаssе salariale, salaires nets et charges sociales, constituent pour toutes les entreprises de service, le premier poste de dépenses. Il n'est pas extensible à l'infini.
Dans les PME et TPE, il n'est pas rare de voir des dirigeants moins bien payés que leur personnel.
En réponse au message de octavo :
Évoquer son salaire est effectivement tabou en France ... mais pour tout le monde.
Personnellement, ça ne m'a jamais posé de problème et bien des fois, j'ai pu voir des gens surpris et restés muets lorsque je donnais ouvertement le montant de mon salaire (de mes crédits, loyers etc ...).
Et je peux affirmer que ce n'étaient pas des "patrons".
Les salariés se gardent bien de révéler leur salaire, ne soyons pas hypocrites sur ce sujet. Entre eux il existe une certaine concurrence et il suffit d'aller voir en usine comment les jalousies sont attisées. Les petits chefs abusent de leur pouvoir sans vergogne ... les subalternes rêvent de monter dans la hiérarchie.
Je dirais même qu'il n'y a rien de pire qu'un "petit chef", dès qu'il a un peu de pouvoir, il ne se sent plus.
Le monde n'est pas manichéen. Il y a chez les salariés, des voleurs, des profiteurs et des fachos autoritaristes.... et on retrouve la même chose chez les employeurs.
Chacun à son niveau tire les draps vers lui.
Et par ехрéгіепсе, j'ai pu voir des salariés, au bas de l'échelle, devenir un jour patron. Certains gardent la tête froide ... d'autres prennent leur revanche.
Le smic à 2000 € : tous les jours, pas de problème, à condition que le coût de la vie ne subisse pas la même hausse ...
Et soyons comptables, un smic à 2000 € nets coûte 3200 €, aujourd'hui, à l'entreprise ... il n'y a pas de miracle.
Enfin, il ne faut pas oublier que nos grands-parents (enfin les miens) ont travaillé jusqu'à 65 ans avec 40h00 pas semaine. A l'époque, c'était "normal", comme quoi tout est relatif. Pour ma part, je serai à la retraite, si rien ne change, à 63 ans ayant travaillé 39h00, un peu 35h00 et souvent plus de 50h00 par semaine. Je ne me plains pas et j'assume mes choix passés et présents. La liberté a aussi un prix.
En réponse au message de rmbonheur31 :
Bonjour Je suis complètement d'accord avec toi le travail c'est la santé.En réponse au message de octavo :
Évoquer son salaire est effectivement tabou en France ... mais pour tout le monde.
Personnellement, ça ne m'a jamais posé de problème et bien des fois, j'ai pu voir des gens surpris et restés muets lorsque je donnais ouvertement le montant de mon salaire (de mes crédits, loyers etc ...).
Et je peux affirmer que ce n'étaient pas des "patrons".
Les salariés se gardent bien de révéler leur salaire, ne soyons pas hypocrites sur ce sujet. Entre eux il existe une certaine concurrence et il suffit d'aller voir en usine comment les jalousies sont attisées. Les petits chefs abusent de leur pouvoir sans vergogne ... les subalternes rêvent de monter dans la hiérarchie.
Je dirais même qu'il n'y a rien de pire qu'un "petit chef", dès qu'il a un peu de pouvoir, il ne se sent plus.
Le monde n'est pas manichéen. Il y a chez les salariés, des voleurs, des profiteurs et des fachos autoritaristes.... et on retrouve la même chose chez les employeurs.
Chacun à son niveau tire les draps vers lui.
Et par ехрéгіепсе, j'ai pu voir des salariés, au bas de l'échelle, devenir un jour patron. Certains gardent la tête froide ... d'autres prennent leur revanche.
Le smic à 2000 € : tous les jours, pas de problème, à condition que le coût de la vie ne subisse pas la même hausse ...
Et soyons comptables, un smic à 2000 € nets coûte 3200 €, aujourd'hui, à l'entreprise ... il n'y a pas de miracle.
Enfin, il ne faut pas oublier que nos grands-parents (enfin les miens) ont travaillé jusqu'à 65 ans avec 40h00 pas semaine. A l'époque, c'était "normal", comme quoi tout est relatif. Pour ma part, je serai à la retraite, si rien ne change, à 63 ans ayant travaillé 39h00, un peu 35h00 et souvent plus de 50h00 par semaine. Je ne me plains pas et j'assume mes choix passés et présents. La liberté a aussi un prix.
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