Malaise sur la GPA (page 3) - Politique & Droits des homosexuels

En réponse au message de pifou :

il n'y a pas d'enfants adoptables en France donc hors de propos

je suis contre la GPA , tout d'abord parce que rien ne peut être fait pour éviter les dérives. les femmes qui font un don de leur corps pour la gloire ne doivent pas être légion par contre celles qui crèvent la dalle

autre chose, on demande toujours l'avis des adultes mais personne ne demande l'avis des enfants parce que c'est déjà pas très facile d'être l'enfant d'un couple homo, alors si en plus il faut expliquer que ta mère est une éprouvette

Si la GPA est légalisée donc cadrée, plus de problème d'"éthique".

Nombre d'enfants évoluent très bien dans des familles homoparetales dont les parents sont excellents.

Et il n'y a pas de de "mère éprouvette" mais deux parents, hommes, femme ou un des deux... Certaines familles monoparentales sont très équilibrées également !!!

En réponse au message de tres-calin :

Néanmoins il y en a ce que tu sembles ignorer. Peut-être ignores-tu comment on a des enfants aussi!

OK !!!

En réponse au message de sim.s-heart :

Depuis 2012, c'est le débat dont on ne doit pas prononcer le nom. Les 3 lettres de l'acronyme GPA (gestation pour autrui), pratique consistant à faire appel à une femme porteuse pour accéder à la parentalité, et, dans le cas d'un couple gay, à recourir à un don d'ovocyte, sont impossibles à prononcer depuis le débat sur le mariage pour tous et les cortèges homophobes qu'il a chariés. Et voilà comment depuis 10 ans déjà, par un manque de courage des politiques assez peu aiguillonnés par des militants éсhаuԁés, le dossier et les questions éthiques vertigineuses qu'il pose ne sont même pas abordées.

"Actuellement, ni les couples hétéros ni les couples homos n'ont accès à la GPA", souligne Lucie Jomat, présidente de SOS homophobie, qui, soucieuse de ne pas diviser l'association, résume l'indécision générale sur ce dossier : "est-ce aux asdos LGBTQI+ de porter ce débat ? Est-ce le moment de le faire ?"

Délicat, le sujet divise au sеіп même du tissu militant. Dès 2014, après la victoire du mariage pour tous, la GPA a fissuré l'unité de façade de l'inter-LGBT. À l'époque, la coordination lesbienne, qui a voté sa propre dissolution en 2017, claque même la porte. Résultat, aujourd'hui, les grandes associations de la fédération ne la revendiquent pas et se contente de réclamer la filiation automatique des enfants nés d'une GPA à l'étranger. Seule l'association des familles homoparentales et l'association des parents et futurs parents gays et lesbiens demandent explicitement la légalisation de la procédure en France.

Deux arguments verrouillent principalement ce débat interdit. Le premier pointe une énième utilisation du corps des femmes par des hommes, tandis que le second reproche à la GPA de n'être accessible qu'à des couples aux moyens financiers conséquent, ce qui représenterait une injustice sociale. Deux interrogations légitimes qui n'ont jusqu'à présent fait l'objet d'aucune contre-argumentation sérieuse. Et s'il est bien une règle qui s'applique à l'histoire des luttes LGBT, c'est que les droits s'obtiennent les uns après les autres. Or, l'ouverture de la PMA aux couples de lesbiennes, promesse de Macron, aura mis un quinquennat à voir le jour. Autant d'années durant lesquelles les associations ont dû se mobiliser sur ce dossier, négligeant celui de la GPA, qui s'annonce plus ardu que ceux du mariage et de la PMA réunis.

D'ailleurs, soyons lucides, un gros travail concomitant de réflexion et de pédagogie sera nécessaire à l'ouverture d'un débat constructif sur une éventuelle autorisation de la GPA en France.

Aujourd'hui, me si les données manquent, les associations de familles rapportent de façon empirique que la majorité de GPA réalisées par des français à l'étranger sont le fait de couples hétéros où les femmes sont infertiles. Des situations pour lesquelles la GPA est le plus souvent pratiquée par sororité.

Quant aux GPA éthiques légalisées dans d'autres pays, elles nécessiteront d'être minutieusement examinées. Au Canada, par exemple, la GPA ne peut avoir qu'une visée altruiste et non commerciale, ce qui, concrètement, signifie qu'avant de s'engager dans un parcours, une femme souhaitant porter un enfant doit disposer de revenus stables.

Du temps sera indispensable, en particulier pour écouter les premières concernées, partout dans le monde. À l'image de l'américaine Alexandra Allen qui, en 2019, disait simplement :"être femme porteuse m'a rendue très heureuse.", in fine, c'est bien de la liberté absolue des femmes à disposer de leur propre corps qu'il est à nouveau question !!!

Disons que réservez cette avantages à des personnes ayant un revenu stable ! Est une façon de mettre beaucoup de monde hors de ce système ! Donc une mère qui ne travaille pas mais qui aidé par divers allocation peut être parent et une personne seul ne pourrait pas être parent car elle n'a pas de revenus stable ? Ces quoi là différence entre les 2 cas !?

Bon je vais expliquer mon cas je fut veuf très tôt 16 mois ! Avec ma regretté femme on attendait d'avoir un logement plus grand pour avoir des enfants ! Bon la mort a voulu autrement ! Au début du veuvage de ne pas avoir d'enfants, je pensais que c'était une bonne chose ! Mais plus les années passent et plus je regrette de ne pas être parent ! Si j'aurais eu cette solution plus jeune sûrement j'aurais essayer de en profiter ! Certains n'ont plut d'amour à partager ! Donc donner de l'amour paternel ou maternel peut être une bonne chose, pas vraiment sur que cette enfant aurait eu autant d'amour dans une famille dite normal !

En réponse au message de grosnounours06 :

Disons que réservez cette avantages à des personnes ayant un revenu stable ! Est une façon de mettre beaucoup de monde hors de ce système ! Donc une mère qui ne travaille pas mais qui aidé par divers allocation peut être parent et une personne seul ne pourrait pas être parent car elle n'a pas de revenus stable ? Ces quoi là différence entre les 2 cas !?

Par "revenu stable" il faut comprendre moyen suffisant, qui n'a pas besoin de se contraindre à commercialiser sdon corps, justement.

En réponse au message de grosnounours06 :

Bon je vais expliquer mon cas je fut veuf très tôt 16 mois ! Avec ma regretté femme on attendait d'avoir un logement plus grand pour avoir des enfants ! Bon la mort a voulu autrement ! Au début du veuvage de ne pas avoir d'enfants, je pensais que c'était une bonne chose ! Mais plus les années passent et plus je regrette de ne pas être parent ! Si j'aurais eu cette solution plus jeune sûrement j'aurais essayer de en profiter ! Certains n'ont plut d'amour à partager ! Donc donner de l'amour paternel ou maternel peut être une bonne chose, pas vraiment sur que cette enfant aurait eu autant d'amour dans une famille dite normal !

Tout à fait certaines familles "traditionnelles" sont des usines à enfants malheureux par carences d'amour, d'attention, de soin ou autres mais là ça ne choque раss, car au moins il y'a un père et une mère... Indignes mais peu importe, apparemment. Le comble de l'hypocrisie !!!

En réponse au message de sim.s-heart :

Tout à fait certaines familles "traditionnelles" sont des usines à enfants malheureux par carences d'amour, d'attention, de soin ou autres mais là ça ne choque раss, car au moins il y'a un père et une mère... Indignes mais peu importe, apparemment. Le comble de l'hypocrisie !!!

pauvres enfants objets d'un commerce ou fruits d'erreurs sехuеllеs qui sont porteurs d'une vie difficile à subir à la base... Personne ne s'en soucie!

En réponse au message de tres-calin :

pauvres enfants objets d'un commerce ou fruits d'erreurs sехuеllеs qui sont porteurs d'une vie difficile à subir à la base... Personne ne s'en soucie!

Tu dis vraiment n'importe quoi, les enfants d'homo ne peuvent pas être le fruit d'erreurs sехuеllеs, j'te laisse deviner pourquoi. Quand à ce "commerce" dont tu parles, il suffirait de légaliser la GPA pour y mettre fin et mettre tout le monde sur un pied d'égalité !!!

ce n'est qu'une utopie, il y aura plus de commerce que de gens bien

autrement , en ce qui concerne les enfants de parents homo, je sais de quoi je parle, quand ca se passe bien comme pour mon cas, ce n'est déjà pas facile pour le gamin et puis on ne raconte que les belles histoires, jamais quand ca se passe mal comme pour les adoptions d'ailleurs.

on ne montre que le bon cote des choses et dit toi bien qu'un enfant ne dira jamais du mal de ses parents même adoptifs, c'est naturel.

je suis homo et j'ai une fille, mon frère est hetero et a adopte, deux cas ou tout est nickel, mais quand on y pense vraiment on a beaucoup de chance alors disons que dans le doute mieux vaut s'abstenir parce que ca demande beaucoup d'attention envers les enfants et peu de gens en sont capable

En réponse au message de pifou :

ce n'est qu'une utopie, il y aura plus de commerce que de gens bien

autrement , en ce qui concerne les enfants de parents homo, je sais de quoi je parle, quand ca se passe bien comme pour mon cas, ce n'est déjà pas facile pour le gamin et puis on ne raconte que les belles histoires, jamais quand ca se passe mal comme pour les adoptions d'ailleurs.

on ne montre que le bon cote des choses et dit toi bien qu'un enfant ne dira jamais du mal de ses parents même adoptifs, c'est naturel.

je suis homo et j'ai une fille, mon frère est hetero et a adopte, deux cas ou tout est nickel, mais quand on y pense vraiment on a beaucoup de chance alors disons que dans le doute mieux vaut s'abstenir parce que ca demande beaucoup d'attention envers les enfants et peu de gens en sont capable

Hélas tu as raison mais des enfants animaux de compagnie personne ne s'y intéresse en dehors de l'égoïsme se payant une distraction pour animer sa solitude!