Marc Blondel, le militant laïc et syndicaliste (page 3) - Politique & Droits des homosexuels

mêmes de ce qui définit le socialisme et, ceci, quelle que soit sa nuance (réformiste, "communiste", trotskyste).

trotskyste et socialisme dans la même phrase --->

Climax tu es un doux rêveur, si de nobles sentiments t'animent, tu n'en demeure pas moins déconnecté des réalités économiques qui président à ce monde dans lequel tu évolues.

Démonstration immédiate
de ce que nous ne sommes plus
dans l'argumentation,
ni dans la tentative d'affronter
des conceptions différentes
de l'action politique,
et des buts que celle-ci poursuit :
Ikki ne peut pas s'empêcher d'utiliser
les mots classiques destinés
à disqualifier l'interlocuteur :
"doux rêveur", "déconnecté ;
voyez, d'après Ikki, je n'ai même
pas la faсulté de la perception
des réalités ; alors, pensez donc,
je ne peux être qu'un fada débitant
des fadaises ; et nous avons,
de la part d'Ikki, le grand numéro
classique de l'homme censé
détenir le monopole de la raison !

A ce stade-là,
Ikki ne mérite pas
un interlocuteur :
il lui faut un
punching-ball.

Très peu pour moi !!!

mêmes de ce qui définit le socialisme et, ceci, quelle que soit sa nuance (réformiste, "communiste", trotskyste).

trotskyste et socialisme dans la même phrase --->

Le socialisme - poursuivant
l'expropriation des capitalistes -
comprend en son sеіп
des divergences fortes,
des clivages historiques,
des méthodes d'organisation différentes
des action politiques se différenciant,
bref des courants qui se sont
cristallisés, pour atteindre
ces buts (lesquels buts, attenants aux buts
intermédiaires, aux moyens déployés
ne coïncident pas d'ailleurs, de plus en plus,
selon les courants envisagés) :
les réformistes, comme Jean Jaurès, ont vu dans le
socialisme le parachèvement de la République ;
les "communistes" (je désigne ainsi, entre guillemets,
les staliniens et les post-staliniens, qui usurpent
cette dénomination) ont pensé édifier le socialisme
en un seul pays, aЬапԁonnant l'internationalisme,
et faisant de l'Internationale Communiste
(la Troisième Internationale)
un instrument de la politique étrangère
de l'URSS stalinisée, de plus ils ont
toujours refusé que les phases
dites "démocratique" et "socialiste" puissent se
chevaucher (ce qui lors de la Révolution espagnole de 1936 a conduit les staliniens
à s'allier avec les partis républicains bourgeois
protégeant la propriété privée
des moyens de production) ;
les trotskystes ont toujours considéré le régime
parlementaire comme le plus favorable
à l'action, et revendicative, et politique des salariés,
ils ont par ailleurs toujours soutenu, qu'à l'époque de l'impérialisme, les revendications démocratiques ne peuvent être pleinement satisfaites
que par la transition socialiste,
accomplie par des partis ouvriers indépendants
de la bourgeoisie capitaliste et de son État
(et dans le refus de toute alliance avec les partis représentant les intérêts capitalistes)
et il y a pour eux une
"révolution permanente",
une transformation sans étapes
distinctement marquées entre une révolution dite démocratique et une révolution
réalisant des objectifs socialistes,
et, par ailleurs, les
trotskystes considèrent que,
si le cadre national est bien
le lieu de la lutte des classes,
celle-ci ne prend un tour
décisif qu'au niveau mondial.

Voilà pour calmer ton étonnement, Yoomy !
Ne défaille pas, ton rimmel va se gâcher !

En réfléchissant, incidemment,
aujourd'hui je me disais
que Ikki a une prétention
outrancière et très totalitaire :
il y aurait un seul point de vue qui permettrait
d'appréhender avec justesse "la "réalité.


Or, il se trouve, qu'en économie,
les classes sociales s'affrontant,
les points de vue sont aussi antagoniques,
puis, je m'avise que mon point
de vue de "socialiste maintenu"
cerne "la "réalité, distingue en elle
avec une certaine précision des traits
permanents ou cycliques ou fulgurants,
qu'elle en a une perception fine,
suffisamment cohérente et rationnelle,
et que cette perception
fonde une conception
servant le socialisme,
non le maintien
de l'état des choses actuel.

Parce que nous sommes
dans une société divisée
en classes sociales
antagoniques
c'est un abus exorbitant
que de prétendre
qu'un seul point
de vue conduirait
à la juste et seule
et unique perception
possible, standard, indubitable,
s'imposant par soi-même,
de "la" réalité économique,
perception fondant
une conception,
la seule possible,
elle aussi !!!

Selon mon point de vue de classe
sociale, la malhonnêteté se situe
du côté de Monsieur Mittal, qui rachète
et liquide Arcelor, et dépèce l'entreprise :
la malhonnêteté consiste dans le fait
de jeter à la rue des travailleurs, et
de passer pour un éventuel sauveur ;
la nationalisation est commandée
par la nécessité, et industrielle,
et sociale, de ne pas liquider la
sidérurgie française ; les capitalistes,
depuis les De Wendel, et d'autres
familles se sont suffisamment
enrichis et ont suffisamment
fait suer de la plus-value aux
travailleurs au cours du
vingtième siècle et après,
pour que la richesse produite,
non point par ces gens-là,
mais par les sidérurgistes,
pour que les profits réinvestis
(et encore c'est bien loin d'être
tous les profits qui auraient
été réinvestis) dans l'appareil
industriel, tous les profits
matérialisés dans l'appareil
de production et venant du travail
des producteurs reviennent
sans indemnisation aucune
aux producteurs eux-mêmes.

Il est plus que temps
de nationaliser.
Sans indemnisation.


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Une question de méthode Ikki :
tu ne peux pas prétendre discuter
avec moi, et sans cesse me caricaturer,
me déprécier, me vilipender, en utilisant
fréquemment l'attaque personnelle,
avancer que je serais un "rêveur",
un "déconnecté", puis un spoliateur
malhonnête (alors que ce sont les
travailleurs qui créent les richesses
du Capital) ; tu ne peux pas en venir
à l'invective, et à l'offense, déprécier
l'interlocuteur que je pourrais être
(si tu le laissais advenir), tu ne peux pas
être animé de la volonté systématique
de me blesser, et de me vaincre dans
ce que les Anciens Grecs appelaient
des "logomachies", "des combats de gueules",
et espérer ma coopération : c'est ainsi, je ne peux
pas discuter avec quelqu'un qui a l'insinuation,
la mise en doute de mes capacités
de raisonnement, et l'insulte
pour dernière ressource.


Voilà pourquoi, encore une fois,
je déclare ma participation
close, Ikki.

Tu ne peux pas espérer me traiter de "nanti
de fonctionnaire", alors que j'ai gagné ma croûte
modestement, dans des conditions difficiles
que tu ignores, et sans discontinuer, et alors que
j'ai trimé toute la journée dans mon Lycée, et que
je sois d'humeur à te répondre : le mépris pour toi
est une méthode habituelle ; la limite sera celle
de mon retrait : j'avançais plus haut qu'il te fallait
un "punching-ball", n'en est-ce pas la démonstration ?

Eric Zemmour, en chroniqueur représentatif de la droite,
a le mot bien affûté ; il a le sens de la caricature ;
il a des formules qui font mouche, non pas qu'elles
soient justes, mais parce qu'elles sont bien
construites ; il a l'habitude d'expédier, en formules,
sur les plateaux, des idées qui sont censées être
marquantes ; et comme tout homme de droite,
il enterre le syndicalisme, parce que c'est son
épouvantail ; rien de tel qu'une grève générale,
interprofessionnelle, mobilisant des millions
de salariés pour susciter la crainte et surtout,
par l'enchantement des mots, faire évoquer la mort
du syndicalisme avant que le syndicalisme ne soit
effectivement mort.

C'est le point de vue d'un homme qui prend
le ton patelin du petit matin, de la chronique
bonhomme pour balancer sa vieille aversion
envers le syndicalisme authentique ; ce n'est pas
excessif, ce n'est pas tonitruant, ça susurre, ça
se glisse dans le tuyau auditif, ça fait image,
on y pêchera quelques bons mots, on louera
la clairvoyance du journaliste-commentateur,
mais ce n'est pas un bilan
de l'action de Marc Blondel
qui n'était pas"le patron" de la Confédération
Générale du Travail-Force Ouvrière,
mais son secrétaire, nuance forte : il
ne percevait pas de dividendes, il
a été élu par les congrès de Force Ouvrière !

Merci de bien vouloir rester respectueux les uns envers les autres SVP !
Vous pouvez débattre sans soucis mais sans être insultant aussi.
Merci

Voilà pourquoi, encore une fois,
je déclare ma participation
close, Ikki.

YEEEEAAAAAAH ikki remporte le match ! Climax déclare forfait !