Qu'est-ce qui rend notre vie meilleure ? (page 4) - Le "Blabla" bar

En réponse au message de ji13 :

Bonjours Texto heureux de te revoir

Bonjour et merci Ji !

En réponse au message de SubSeven :

Rebienvenue Textoo

Bonjour et merci Sub7 !

En réponse au message de pimpon :

J, Faisons ,le contraire des trois singes , parlons entre nous , écoutons les autres ( tout les autres ) , et voyons les beautés ( toutes les beautés ) qui nous entoure .... Monsieur Textoo

Bonjour Pimpon,

La sagesse même !

En réponse au message de kikinou4 :

Chacun à sa définition du bonheur,
certains se contentent de peu,et d'autres d'avoir toujours plus.

quant à ce qui nous garde en bonne santé,pareil .

le mode ,l’hygiène de vie .

un capital santé transmis par les parents ,et hélas la ou les maladies contractées au cours de sa vie.........

bon retour à toi textoo!!!!!!

Bonjour et merci Kikinou,

Il y a certes des éternels insatisfaits qui ne savent rien apprécier, la définition du bonheur est bien personnelle je suis d'accord sur ce point.

Textoo est notre phare dans la nuit.
Qui sait combien nous nous sommes égarés sans ses lumières rassurantes ?

Cette étude est intéressante, et éloquente.
Mais, en dépit de l'enthousiasme bienveillant déployé par le Pr. Woodstock, il faut se prémunir contre toute généralisation abusive d'un résultat singulier, issu d'un échantillon aussi limité, circonscrit à une génération et à une époque donnée.

Le partage altruiste, le soin apporté aux autres et reçu réciproquement, comme la responsabilisation, sont des facteurs d'épanouissement qui rejaillissent sur notre espérance de vie. Mais il ne faut pas oublier que les interconnexions humaines peuvent - tout autant - devenir source de stress, de compétition, de dépression et de pressions en tout genre. Bref, le cocktail parfait pour crever avant d'avoir atteint l'âge d'espérance de vie moyenne.

Sourire à la vie, se détacher du superflu et se concentrer sur l'important (famille, amis etc...)

Et bien sûr, "cultiver son jardin"...

C'est à dire avoir une activité, quelle qu'elle soit, afin de se recentrer et de s’épanouir.

Et j'oubliais, se montrer curieux afin de s'ouvrir au monde.

En réponse au message de yggdrasil :

Textoo est notre phare dans la nuit.
Qui sait combien nous nous sommes égarés sans ses lumières rassurantes ?

Cette étude est intéressante, et éloquente.
Mais, en dépit de l'enthousiasme bienveillant déployé par le Pr. Woodstock, il faut se prémunir contre toute généralisation abusive d'un résultat singulier, issu d'un échantillon aussi limité, circonscrit à une génération et à une époque donnée.

Le partage altruiste, le soin apporté aux autres et reçu réciproquement, comme la responsabilisation, sont des facteurs d'épanouissement qui rejaillissent sur notre espérance de vie. Mais il ne faut pas oublier que les interconnexions humaines peuvent - tout autant - devenir source de stress, de compétition, de dépression et de pressions en tout genre. Bref, le cocktail parfait pour crever avant d'avoir atteint l'âge d'espérance de vie moyenne.

Bonsoir Ygg,

Chacun sa façon de voir le verre, trop se poser de question nuit souvent à la santé, question de lumière ...

En réponse au message de textoo :

trop se poser de question nuit souvent à la santé, question de lumière ...

Ouai, je sais. Je ne me donne pas 50 ans d'espérance de vie.

Textoo, tu évoques ma vive sensibilité à ce sujet, et mes exemples illustrent assez bien le propos de ce directeur du projet de recherche.

Au-delà d'un certain sirop sucré bien américain, et Yggrasil a raison de relever combien maintes relations humaines aliènent (les rapports de production capitalistes actuels, pour formuler vite), oui, ça me bouleverse.


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Un exemple

- Dans une relation psychanalytique, le mot "amour" n'est pas prononcé, il est même récusé ; le thérapeute parlera de "bienveillance ouverte" dans son attention flottante ; le patient dira sa "gratitude", s'il en est capable et si cela a du sens pour elle/lui.

Mais, ce qui se rejoue, redevient présent, et se manifeste de nouveau, dans la relation thérapeutique, est un revécu de situations interpersonnelles anciennes chargées de sentiments, relations qui ont déterminé des représentations aidantes ou destructrices (pour faire court) ; il se rejoue de l'amour, de la haine, de l'indifférence, toute une gamme de sentiments.

Sans la patience du psychanalyste, qui est de l'amour pour maintenir le lien avec le patient, pour que cela ne se rompe pas, et sans l'admission par le patient qu'"on lui veut du bien", sans le sentiment de l'amour reçu, RIEN NE SE MODIFIE DE LA SOUFFRANCE DU PATIENT !!!

Et, comme il est émouvant que Sigmund Freud, après avoir eu la plus grande méfiance envers le TRANSFERT, ait reconnu en ces mouvements de projection, faisant incarner au thérapeute de multiples identités, ici et maintenant, le MOTEUR MÊME DE LA CURE : le transfert comme moyen, le ressenti (ressentiment, crainte, haine, défiance, idéalisations, peur, indifférence, négations de l'autre, hostilité) comme le plus sûr chemin.

Et c'est pourquoi, un psychiatre, non formé à la psychothérapie analytique, et qui ne peut recevoir dans l'ouverture tranquille de son être, les mouvements affectifs d'un patient est un DÉSASTRE pour les patients : leur transfert positif non reçu les enrage, et il subsiste ensuite le seul et massif transfert haineux !

Les praticiens de l'âme sont des praticiens qui utilisent les relation humaines dans le cadre thérapeutique, et les affects (transfert, contre-transfert, interprétations, silence fait sur une interprétation pour ne pas déstabiliser les patients).

Voilà un gros pavé, mais c'est ainsi !


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Dans mes relations,
seuls de vrai(e)s ami(e)s
m'ont sauvé la vie,
par la persistance
de leur considération
et de leur attachement,
malgré mon aЬапԁon
de moi-même par moi-même.

Comment cette vidéo me laisserait-elle indifférent ????


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Merci, Textoo !
Et tu constateras que, là où d'autres croient au seul style expéditif, moi je crois au style de l'exposition explicative.
C'est là un acte de foi dans l'intérêt que me porteront, ou pas, des êtres humains.

En réponse au message de climax69007 :


Les praticiens de l'âme sont des praticiens qui utilisent les relation humaines dans le cadre thérapeutique, et les affects (transfert, contre-transfert, interprétations, silence fait sur une interprétation pour ne pas déstabiliser les patients).

C'est une illustration du rôle joué par les relations interpersonnelles, à laquelle je n'avais pas songé.
Mais nous sommes en plein dans le sujet !
Merci à toi, pour ce témoignage.