En réponse au message de studio54street :
En réponse au message de climax007 :
Studio, il y a quatre cents ans de littérature brésilienne ; il y a huit cents ans de littérature portugaise, le dramaturge Gil Vicente (sept pièces traduites sur les quarante ou cinquante de ses trente années d'activité !), le "Juif" le plus grand dramaturge du 18e siècle (une traduction en langue française alors que ses œuvres complètes comptent quatre volumes)... Sautons les écrivains africains, ceux de Timor-Leste aussi !
Tu mets toute cette richesse dans le couloir étroit du succès éditorial, et ce qui ressort, c'est Paulo Coelho. Encore, toujours, sempiternel !!!
Voilà, la traduction des œuvres lusophones est immensément défaillante, donc Studio tu auras Paulo Coelho, et tu n'as pas le choix.
Je suis navré !!!
Et voilà comment tu es conduit, fatalement, vers Paulo Coelho : il n'y a pas que des goûts personnels en jeu, Studio, mais la rareté du choix éditorial, hélas !!!
Formulé ainsi je ne peux que souscrire à ce que tu viens d écrire Climax.
Mais pour autant faut il tourner le dos à un ouvrage abouti, qui peut faire rever le lecteur au seul motif qu il a bénéficié d un soutien éditorial plus soutenu que d autres auteurs moins connus mais certainement tout autant méritants ?
Ce n'est pas une question de tourner le dos ou de boycotter un ouvrage...
Mais de survoler toutes les latitudes littéraires.
Tout se vaut à condition de ne rien laisser de coté, surtout l'excellence qui peut être ocсultée par la trop grande visibilité des ouvrages plus... Vепԁеuгs.