Solitude (page 2) - Bisexualité & Hétérosexualité (forum bi / hétéro)

En réponse au message de sim.s-heart :

Bonjour viril.

J'dirais mieux vaut être seul que mal accompagné mais le top c'est d'être entouré et apprécié pour ce que l'on est en restant soi même !!!

Que c'est beau :)

Je préfére etre seule que de jouer a un jeu qui ne me plais pas du tout; les faux semblants et tout le reste c'est pas pour moi, ça ne méme nul part, alors autant rester sois-méme et peut importe que ça plaise ou non, je suis comme ça!

Je ne peux pas répondre à une question aussi générale.

La réponse immédiate serait oui, mais je ne connais ni le problème ni la situation.

Personne n'est 100% soi-même, on joue tous un rôle dans la société. Il faudrait avoir davantage d’éléments sur ce qui te tracasse pour pouvoir juger. Et encore, on ne saura jamais dans ta tête pour connaître entièrement la situation.

Le mieux est que tu te poses la question à toi-même, tu seras plus légitime à y répondre.

Ce sera un choix coûteux, mais tu auras choisis : la liberté ou le confort.

T'inquiètes pas, ça va aller !

En réponse au message de nyke41 :

Je préfére etre seule que de jouer a un jeu qui ne me plais pas du tout; les faux semblants et tout le reste c'est pas pour moi, ça ne méme nul part, alors autant rester sois-méme et peut importe que ça plaise ou non, je suis comme ça!

ha bin écoute j'ai beau être seul, la simple vérité c'est que je m'y complais assez bien et j'ai des objectifs qui passe bien avant le fait de trouver quelqu'un, j'ai arrêté depuis longtemps de faire du social parce que c'est qu'une grosse perte de temps

Salut viril,

La question est trop générique pour que l'on puisse y répondre précisément.

Les situations sont tellement multiples. On peut vivre seul et très très bien entouré, et on peut tout aussi bien vivre à deux et se sentir seul.

Je crois que c'est le sentiment de solitude qui est le pire, certainement pesant, après pour ce qui est de jouer un rôle, on joue de multiples rôles dans notre vie en fonction de nos interlocuteurs, rien n'est rédhibitoire, notre personnalité nos certitude évoluent également, alors jouer un rôle, dans l'absolu on joue tous notre partition qu'elle soit honnête ou pas.

Je crois que le doute fait avancer.

Enfin, je dirais que si tu vis seul et que tu n'as pas non plus de vie sociale en dehors il faut te bouger et ne pas hésiter à se rapprocher d'un club sportif ou d'une association, enfin au moins par un biais quelconque voir un peu de monde,

Car être seul est une chose et être isoler en est une autre !

En réponse au message de acis :

Heureusement, le monde n'est pas binaire.

Il n'y a pas, d'un côté, la solitude dans une fidélité hypothétique à soi-même. Et il n'y a pas, de l'autre, la vie commune nécessairement hypocrite.

Nous nous faisons tous des illusions sur nous-mêmes et la fidélité bornée à l'image que nous cultivons de nous me semble tout aussi vectrice de malheur que les faux-semblants introduits dans notre image, telle que nous la façonnons pour les autres.

Au contraire, nous avons besoin de la relation à l'autre pour juger de nous-mêmes. Et comme le disaient les Anciens, la parfaite connaissance de soi - de sa juste mesure, de ses failles comme de ses qualités - est tempérance ; or la tempérance nous porte vers autrui dans une relation pacifiée.

En tout état de cause "autrui" regroupe une infinité de personnes et de personnalités dans une multitude de groupes sociaux. A nous de ne pas rejeter en bloc "les autres" sous prétexte que "tels autres" nous rejettent.

Nous sommes souvent les artisans de notre propre solitude.

je n'aurais pas dit mieux!!!

La réponse est là, pas dans une pseudo-intégrité!!!

Merci pour ta clairvoyance!!!

En réponse au message de yannboy95 :

Salut viril,

La question est trop générique pour que l'on puisse y répondre précisément.

Les situations sont tellement multiples. On peut vivre seul et très très bien entouré, et on peut tout aussi bien vivre à deux et se sentir seul.

Je crois que c'est le sentiment de solitude qui est le pire, certainement pesant, après pour ce qui est de jouer un rôle, on joue de multiples rôles dans notre vie en fonction de nos interlocuteurs, rien n'est rédhibitoire, notre personnalité nos certitude évoluent également, alors jouer un rôle, dans l'absolu on joue tous notre partition qu'elle soit honnête ou pas.

Je crois que le doute fait avancer.

Enfin, je dirais que si tu vis seul et que tu n'as pas non plus de vie sociale en dehors il faut te bouger et ne pas hésiter à se rapprocher d'un club sportif ou d'une association, enfin au moins par un biais quelconque voir un peu de monde,

Car être seul est une chose et être isoler en est une autre !

Merci de votre réponse...

En réponse au message de yannboy95 :

Salut viril,

La question est trop générique pour que l'on puisse y répondre précisément.

Les situations sont tellement multiples. On peut vivre seul et très très bien entouré, et on peut tout aussi bien vivre à deux et se sentir seul.

Je crois que c'est le sentiment de solitude qui est le pire, certainement pesant, après pour ce qui est de jouer un rôle, on joue de multiples rôles dans notre vie en fonction de nos interlocuteurs, rien n'est rédhibitoire, notre personnalité nos certitude évoluent également, alors jouer un rôle, dans l'absolu on joue tous notre partition qu'elle soit honnête ou pas.

Je crois que le doute fait avancer.

Enfin, je dirais que si tu vis seul et que tu n'as pas non plus de vie sociale en dehors il faut te bouger et ne pas hésiter à se rapprocher d'un club sportif ou d'une association, enfin au moins par un biais quelconque voir un peu de monde,

Car être seul est une chose et être isoler en est une autre !

tout à fait !

En réponse au message de acis :

Heureusement, le monde n'est pas binaire.

Il n'y a pas, d'un côté, la solitude dans une fidélité hypothétique à soi-même. Et il n'y a pas, de l'autre, la vie commune nécessairement hypocrite.

Nous nous faisons tous des illusions sur nous-mêmes et la fidélité bornée à l'image que nous cultivons de nous me semble tout aussi vectrice de malheur que les faux-semblants introduits dans notre image, telle que nous la façonnons pour les autres.

Au contraire, nous avons besoin de la relation à l'autre pour juger de nous-mêmes. Et comme le disaient les Anciens, la parfaite connaissance de soi - de sa juste mesure, de ses failles comme de ses qualités - est tempérance ; or la tempérance nous porte vers autrui dans une relation pacifiée.

En tout état de cause "autrui" regroupe une infinité de personnes et de personnalités dans une multitude de groupes sociaux. A nous de ne pas rejeter en bloc "les autres" sous prétexte que "tels autres" nous rejettent.

Nous sommes souvent les artisans de notre propre solitude.

lol on dirait un prof parlant à ses élèves !!!!

J'adore cette phrase que Acis a dite :

"Et comme le disaient les Anciens, la parfaite connaissance de soi - de sa juste mesure, de ses failles comme de ses qualités - est tempérance ; or la tempérance nous porte vers autrui dans une relation pacifiée."

La tempérence serait elle devenue parcellaire dans la société des hommes ?

Ou au contraire est elle une vertu qui progresse ?