En réponse au message de mehdigourmand :
Les garçons chacun est libre de faire ce qu’il veut avec sa Ьоuсhе et son сul tant kon prend du рlаіsіг et que l’on en partage c’est ça l’essEntiel d’apres Moi, il ne faut juger personne selon moi...
D'accord avec toi; il n'est pas question de juger mais de réfléchir sur le postulat de départ énoncé par Tom, d'où tout le reste découle:
En réponse au message de tom.pillibi :
Quand j’entends aussi bien chez les homos que chez les hétéгоsехuеls que l’un ou l’autre l’a trompé dans un couple et bien je n’ai pas la même définition de ce qu’est tromper son partenaire.
Pour ma part, tromper son mec c’est d’avoir exclusivement des relations sехuеllеs avec lui....
Être l'exclusif de son partenaire serait donc, selon ses propos, tromper son mec…
Le problème, c'est que ça fait trente pages qu'il plaide sa cause sans dépasser le stade de la "profession de foi", tout simplement parce que le truc est indéfendable…
Ou tu vis dans le cadre d'un rapport exclusif avec ton partenaire, ou ce n'est pas le cas et tu es dans du nomadisme sехuеl, sans qu'il faille y porter un quelconque jugement défavorable, si ce n'est par un partenaire qui ne serait pas d'accord avec la formule.
Car tout cela se fait au moins à deux.
Il faut un consentement mutuel pour une formule ou l'autre si on parle bien de relation de couple.
Maintenant, si on raisonne en tant qu'électron libre, c'est autre chose.
On est alors dans la formule: "Qu'importe le flacon pourvu qu'il y ait l'ivresse".
Mais alors, tromper n'a plus aucun sens et chercher à se justifier en disant que c'est tromper son mec en ne couchant qu'avec lui, non plus…
Au cours de la discussion est apparu un autre cas de figure: Celui de ceux qui sont en couple régulier et qui s'amusent ensemble avec des tiers.
Ce qui en ressortait globalement, c'est que, quand c'est une pratique de couple, on pouvait difficilement évoquer une pratique adultérine puisque pratiquée en présence, en connaissance du partenaire habituel et le plus souvent même, avec sa participation.
Il y a aussi des couples qui considèrent ensemble que la sехualité dépasse le strict cadre de ce qu'ils partagent ensemble; chacun étant libre d'aller compléter le menu sехe avec d'autres sans que le partenaire habituel y soit convié.
Mais ce que défend Tom, c'est encore autre chose:
Ne plus avoir de relation sехuеllеs avec un partenaire avec lequel on vit depuis 17 ans, s'éclater de son coté aux sаuпаs et ailleurs et prétendre, en plus, que c'est la logique inéluctable des choses et que le contraire serait tromperie.
Après, tu t'étonnes que la thèse ne soit pas facile à défendre…
Si on est logique deux seconde, on est dans une union qui ne mérite plus son nom et on vit avec un ami іпtіmе ou / et un colocataire tout en vivant une vie d'électron libre.
Comme cette réalité le dérange, il l’élève au rang de posture éclairée imposée par la condition humaine.
Et la marmotte, elle emballe le chocolat…