En réponse au message de pifou :
alors voila les pauvres en prison sont des cas sociaux gaulois comme mes potes ou moi et le reste d'origine arabe parce que les têtes pensantes nous ont stockes a l'abri du regard
Là, tu inverses, toi aussi, la proportion 75% - 25%
Non, la pauvreté ne justifie pas les trafics de ԁгоguе, d'armes, les combats de сhіепs, les vols en tous genres, le racket, la ргоstіtutіоп,…
Je suis d'accord avec toi pour pointer du ԁоіgt toute une population laissée au bord de la route et aussi pour dire que c'est un choix politique qui a été fait.
Mais tu ne retrouves pas tous le pauvres en prison, loin s'en faut.
Par contre, tu peux faire un parallèle entre un système d'éducation parental qui confine le rôle des fille à celui de larbins et celui des garçons à celui de petits princes.
Un exemple vécu:
J'ai essayé de faire des choses dans mon quartier, par le biais associatif.
Je me souviens d'un atelier cuisine auquel participaient des femmes arabes du quartier.
Le local associatif, pendant cet atelier, s'est fait caillasser.
Devine par qui
Des jeunes beurs du quartier, parmi lesquels des enfants des femmes qui participaient et qui sont restées sans réagir.
À la question: "Vous ne faites rien", la réponse a été: "Non, je ne peux pas ici mais quand je vais rentrer à la maison…"
Bref, un petit restant d'autorité est dévolu au père qui, le plus souvent et en qualité d'ado attardé de 35-40 balais, ne va rien faire, voir lui dire que c'est bien de casser les pieds de ces kouffars qui occidentalisent les femmes.
Bref, à douze ans, ils sont ingérables et à 20, ils ont un casier qui n'est pas à sa première page…
Alors oui, il faut s'occuper de la pauvreté mais il ne faut pas se voiler la face non plus sur la non conformité de certaine populations avec le vivre ensemble ni sur les femmes voilées…