Whaou ce sujet semble intéresser du monde, c'est cool.
Hummmm .... Je me rend compte que je n'étais pas assez clair dans mes propos. En même temps dans ce genre de sujet, c'est plutôt difficile. Je me positionnais plutot sur une analyse des actes de manière individuelle, sans rentrer dans l'analyse d'ensemble d'actes itératifs (qu'on pourrait appeler relation, amitié, amour etc etc). Non quand je m'exprimais je pensais plutôt par exemple à :
-Demain j'ai епvіе d'offrir un cadeau à des amis qui emménagent, dois-je le faire anonymement ou pas ?
-Si demain j'arrive à devenir sapeur pompier vontaire, faut-il que je reste silencieux sur cette activité ? Ou bien à l'inverse dois-je communiquer sur ça ?
Ma réflexion portait sur ce genre de question assez concrète.
Bien sûr pour évaluer mes actes il me faut un critère d'évaluation et ce dernier est construit selon la conception que je me fait du bien et du mal. Du coup je vais essayé d'être précis.
Pour moi le bien ce sont tous les actes qui sont animés et guidé par ces deux axiomes
- Ne pas juger
- Agir pour le bien de l'autre
A l'inverse rentre dans la catégories du mal les actes animés par :
- Le désir de nuire à autrui par pur рlаіsіг ou par intérêt
Evidemment le monde n'est pas manichéen et entre ces deux pôles se trouve un continuum
Cette conception part évidemment de mon éducation chrétienne, mais je pense qu'elle est suffisamment large et efficace (en terme de cohésion social) pour crée un consensus suffisament important. D'autant plus qu'il me semble qu'il est possible de défendre cette position sans avoir recours à un registre metaphysique/spirituel. En gros le bien, ça serait les actions qui favorise la cohésion sociale, facteur indispensable à notre survie en tant qu'espèce sociale.