En réponse au message de pegase49 :
Bah, de prime abord, pour être honnête, je dirais que tu es un opportuniste (dans le sens péjoratif du terme) qui vient bouffer dans la gamelle et se tire après s’être rassasié...
Je prends ta grande franchise comme une marque amicale de ta part.
Bon, j'ai présenté les chose de façon manichéenne et cela pose ma personne en tant que gros salaud qui fait son marché…
C'est mon coté provocateur agace-сul.
En fait, j'aime les gens; je prends et je me donne.
Ce n'est donc pas une exploitation mais une rapprochement qui, si il exclue l'amour véritable, reste dans une approche gagnant-gagnant.
J'apprécie de garder le contact avec mes аmапts, l'idéal étant de me faire des potes avec lesquels je peux aussi coucher.
J'aime les rencontres, quand bien même elles n'aboutissent pas en saillies.
Pour le dire autrement, mes bons sentiments envers mes partenaires survivent à l'éjасulation…
Ma femme est une sainte; je ne pense pas.
Elle n'a pas епvіе de sехe et n'a pas le goût de se forcer.
Elle est consciente que c'est une perte de mon coté et fait la part des choses entre l'amour et l'attachement réels que je lui porte et une activité sехuеllе qui participe à mon équilibre.
Son grand mérite est qu'elle ne me considère pas comme sa propriété, la réciproque étant vraie.
Je suis même encore plus libéral à son sujet, étant prêt, dans l'hypothèse où elle trouverait à être plus heureuse avec quelqu'un d'autre que avec moi, à la laisser partir, par amour.
C'est son bonheur qui est plus important que le mien.
Il se trouve que nous sommes véritablement attachés l'un à l'autre; d'un attachement qui autorise la liberté des protagonistes dans une indépendance qui tient compte du bonheur de l'autre sans oublier qu'être personnellement heureux y participe.
Cela donne une configuration actuelle que l'on s'attendrait à voir au sеіп d'un couple en déconfiture et qui est, bien au contraire, la démonstration d'une solidité qui pourrait bien s'avérer à toute épreuve…