Oh je n'ai pas eu la fin, je prends le temps de te répondre plus tard, débat qui s'annonce passionnant! et qui plus est enrichissant, bien que quelque peu...j'ai l'impression de t'entendre parler avec... peu importe...
Rassure-toi, ce n'est pas parce que je suis enseignant, et d'ailleurs pas de philosophie, qu'il faudrait voir dans mes explications un calque des dialogues que je peux avoir avec des élèves.
Ce que je te tгапsmets là, pas du haut de l'estrade, est bien destiné à toi, sois en sûre.
Belle confrontation de ton état, a je ne sais pas quoi...
On ne parle pas sans savoir, et quand on sait, on se tait, jolie paradoxe!
et bien, si je traîne dans le coin plus tard et que l'епvіе t'en dit,
ayons une discutions en mp,
tu agites mon intérêt et ta connaissance me donne faim!
--- Je voulais seulement exprimer que je te débitais pas un cours, en petits morceaux, d'après une tracé prédéterminé, et sachant où cela me conduit ; par ailleurs, je ne crois pas que la "philosophie" soit un usage de la pensée réservé, bien que des spécialistes s'y attellent, bien qu'un langage technique tente de la circonscrire ; la philosophie est un affrontement radical à des questions touchant à ce que chacun est dans son existence dans ce monde-ci.
-- Je perçois dans ton attitude de la fin ce qui me confirme dans mon appréciation de ton mysticisme foncier (ton désir d'union ineffable avec une réalité t’englobant, union qui ne nécessiterait pas l'usage pour chacun du vocabulaire, lequel serait impuissant à rendre compte de ce que tu ressens) : tu me demande de dispenser une connaissance dont je serais le détenteur, comme les Beatles et d'autres en leur temps demandaient à des gourous indiens ou des soufis la voie à suivre.
Eh bine, la connaissance n'est pas une méditation, elle s’acquiert, en se construisant, par la saisie des perceptions, des idées de nos perceptions, pour ne jamais aboutir à une conclusion ultime.