« Il ne peut pas y avoir de choix démocratique contre les traités européens ». 7 ans après, cette phrase prononcée par Jean-Claude Juncker, l’ancien président de la Commission européenne, continue de hanter notre imaginaire collectif.
Si le peuple français vote pour la renationalisation d’EDF ? Du fret ? Pour favoriser l’agriculture et l’économie locales ? Interdit par le droit européen de la concurrence ! Si le peuple vote pour un рlап d’investissement dans la bifurcation écologique, et pour investir dans les services publics ? Impossible, il faut respecter les critères européens de dette et de déficit public !
Désobéir, déroger, contourner peu importe le mot, c’est la même stratégie qui est visée : sortir de l’immobilisme en assumant de dépasser les blocages posés par certaines règles européennes.
En refusant de mettre en concurrence sa production d’eau potable, l’Allemagne a obtenu une exemption pour toute l’Europe. C’est parce que plusieurs États ont interdit les OGM que l’UE a fini par légaliser ces interdictions. C’est parce que l’Espagne a agi sur les prix de l’énergie que des dispositifs sont en cours de création pour les réguler partout en Europe.
Mais l'urgence des situations n'obeissent pas aux imperatifs de la commission europeenne en matiere de timing ! le temps est l'ennemi de la France .
personnellement je suis pour que la france quitte l'UE. ET VOUS !!!