En réponse au message de pifou :
en Français seulement
ein en allemand
one en anglais
unus en latin
iota en grec
achat en hébreux
pour le coup je comprends que ta dualité soit particulière
C'était un exemple... Il doit y en avoir bien d'autres !!! ?
En réponse au message de psy_cat :
En parlant de résultante des actions passées, tu parles de karma et de réincarnation et tend donc à appuyer la thèse de l’unicité : rien n’est blanc, rien n’est noir, les actions positives conduisent au bonheur, les actions négatives, au malheur, il n’y a pas de péché, juste une relation de causalité. Tout cohabite, le blanc comme le noir : si je souffre dans cette vie que j’aurais incarnée, j’ai dû causer de la souffrance lorsque j’étais incarné dans une vie antérieure. Et je peux changer ce karma en tentant de mener des actions bonnes … je dirais en étant plutôt en cohérence avec moi-même et avec l’univers car il n’y a pas vraiment de bonnes ni de mauvaises actions. :)
Les philosophes ont permit l’avénement de la science en réfutant les explications mythologiques. La science ne s’arrête jamais et certaines découvertes, à l’instar des philosophes, peuvent se révéler inadéquates au final. C’est pour cela qu’une thèse est toujours suivie d’une antithèse et enfin d’une synthèse. Rien n’est jamais 100% acquis (si ça l’est vraiment … au secours ! car ll s’agirait de toute puissance scientifique (d’un égo spirituel trop développé pour reprendre ce que je disais plus haut et cela peut entraîner de grave cas … je n‘en dirais pas plus pour éviter le point Godwin même si ça me vient en exemple, la toute puissance des religions en est une autre) et si la science progresse, certains faits restent inexplicables aujourd’hui. Tout est en évolution comme le mouvement de l’univers. Attention donc à ne pas ériger la science en dogme, en nouvelle religion, cela l’empêcherait d’évoluer… et de faire de nouvelles découvertes ce qui est sa fonction.
L’homme garde les pieds bien sur terre même si il peut avoir la tête dans les étoiles !
Merci beaucoup pour ta réaction !
Je trouve fantastique, mais pas bien saine, cette formidable faсulté que tu as de t’approprier les propos de tes interlocuteurs. Meme quand on te dit qu’on est pas d’accord, tu trouves le moyen d’intégrer nos arguments a tes thèses.
On te parle d’actions passées et tu en conclus qu’in adhere au karma, a la réincarnation? Jamais ca n’a été évoqué. Le karma et la réincarnation relèvent strictement de la croyance, donc de la superstition. Rien n’est vérifiable. Laisse nous mаîtге de nos actions passées, de nos decisions sans les attribuer a une pseudo vie antérieure maudite qu’on aurait pour tâche de laver!
Tout dans le lexique que tu emploies m’evoque la pensée unique, sectaire. Je dis cela car j’ai connu des gens embrigadés. Une de mes soeurs a failli l’etre. Es tu venu recruter des adeptes parmi les âmes paumées que nous sommes?
En réponse au message de menxy :
Je trouve fantastique, mais pas bien saine, cette formidable faсulté que tu as de t’approprier les propos de tes interlocuteurs. Meme quand on te dit qu’on est pas d’accord, tu trouves le moyen d’intégrer nos arguments a tes thèses.
On te parle d’actions passées et tu en conclus qu’in adhere au karma, a la réincarnation? Jamais ca n’a été évoqué. Le karma et la réincarnation relèvent strictement de la croyance, donc de la superstition. Rien n’est vérifiable. Laisse nous mаîtге de nos actions passées, de nos decisions sans les attribuer a une pseudo vie antérieure maudite qu’on aurait pour tâche de laver!
Tout dans le lexique que tu emploies m’evoque la pensée unique, sectaire. Je dis cela car j’ai connu des gens embrigadés. Une de mes soeurs a failli l’etre. Es tu venu recruter des adeptes parmi les âmes paumées que nous sommes?
Il l'a dit, si tu sais lire, "tout n'est qu'hypothèse", il n'y a pas de vérité absolue... Cela dit, tu te considère comm'un'âme perdue, toi ??? ?
En réponse au message de psy_cat :
Ce concept est au-delà de la biologie. Je le rappelle, c'est un archétype. Jung a justement rompu avec Freud car il était prisonnier (obstiné) par sa toute puissante théorie sехuеllе et sa vision limitée de l'inconscient. Pour Freud, l'inconscient est uniquement personnel et concerne le refoulement de nos pensées et fапtаsmеs les plus inavouables (en gros). Pour Jung, c'est cela mais aussi autre chose : l'inconscient collectif et le Soi. J'y reviendrai une autre fois ^^
Je veux juste rappeler qu'avant qu'on ne décide de se pencher sur la théorie des genres, Jung avait déjà ouvert cette voie non discriminante, qui tente de remettre le masculin et le féminin à sa juste place, en complémentarité. Il reste un homme de son temps mais résolument en avance sur son époque comme tant d'autres philosophes. :)
C'est justement parce que l'univers est infini qu'on peut pencher sur cette hypothèse.
En physique quantique, on parle de point 0 ou d'énergie du vide. Elle correspond au plus faible taux d''énergie possible d'un système physique quantique lorsqu'il est dans son état fondamental, donc quand toute autre forme d'énergie n'est plus, ce qui peut correspondre à l'unicité. Ce qui peut symboliser la frontière entre d'une part une réalité (énergie) relative et une réalité (énergie) absolue.
Si je maintiens que d'un côté, il y'a une réalité relative et de l'autre une réalité absolue, je suis dans la dualité mais si je me réfère au point zéro, je peux conclure que les deux cohabitent ne faisant donc qu'un, je suis dans l'unicité.
Quelque part, partir de l'idée qu'il y'a un environnement avec des éléments qui pour certains fusionnent et cohabitent, donc, sont compatibles, et d'autre part des éléments incompatibles, n'est-ce pas dual ? À contrario, partir de l'idée qu'un environnement est en constante mutation et transformation, n'est-ce pas uni ?
Du coup, en me référent à ce point zéro, je peux en conclure que si certains éléments sont compatibles et d'autres incompatibles, ils cohabitent ensemble ce qui me ramène à l'unicité et à l'idée que tout se transforme dans l'univers.
Nous ne pourrons jamais (enfin, il ne faut jamais dire jamais, la science progresse chaque jour) parcourir celui-ci dans son entièreté, mais celui-ci est en constante évolution tout comme tous les êtres vivants dont nous-mêmes. "Rien ne se perd, rien ne se crée tout se transforme" (Antoine Lavoisier) L'univers serait donc un tout qui se régule et obéit à ses propres lois et nous sommes, de ce point de vue, sоumіs à ces lois. Qui sait même si le Big Bang a eu vraiment lieu ? Peut-être sommes-nous dans un tгоu noir dont le Big Bang a été la résultante, peut-être notre galaxie évoluera, se transformera à nouveau. Toutefois, nous restons dans un même environnement (impermanent, instable et mouvant ?) que certains qualifient de "divin". Je suis d'accord avec toi dans l'idée qu'il faut en finir avec le dogme mais en prenant garde justement de ne pas créer d'autres dogmes, y compris ériger ce que nous tenons pour vrai en vérité absolue. ;) Gardons ouvert le champ des possibles ! :)
Mais il est très difficile pour l'égo, et c'est normal, c'est sa raison d'être et notre moyen de survivre (il ne faut surtout pas le tuer comme le prétendent certains), d'accepter ce qu'il ne peut comprendre. Il a besoin de comprendre ! C'est pourquoi il juge, confronte, remet en question (et au fond, heureusement, car sinon nous n'avancerions pas !) Il est le moteur de nos ехрéгіепсеs. :)
C’est un peu trop simplifier que de pretendre que le tout est unique. Tout, par définition, c’est la totalité de ce sui existe dans le cosmos, et peut-être au delà de ca et qu’in ne soupçonne pas.
Tu ne peux pas prendre tout ce qui existe, et sous prétexte sue c’est en perpétuelle évolution prétendre que c’est une seule et unique chose. Chaque élément existe en plusieurs modèles, qui se rencontrent, s’associent ou s’affrontent. Forment d’autres éléments et ainsi de suite. Ce n’est pas une évolution mais une multitudes d’évolutions qui ne forment pas un tout mais plusieurs environnements séparés par du vide. Et qui ne peuvent interagir que si elle se rencontrent ou s’approchent.
En réponse au message de sim.s-heart :
Il l'a dit, si tu sais lire, "tout n'est qu'hypothèse", il n'y a pas de vérité absolue... Cela dit, tu te considère comm'un'âme perdue, toi ??? ?
Toi, c’est ta faсulté a tout prendre au pied de la lettre qui me subjugue.
Il faut toujours t’expliquer l’ironie, la métaphore. Ici je me place du point de vue de mon interlocuteur, tel que je le ressens. C’est pas le mien. Fais un effort, quoi!
En réponse au message de psy_cat :
En parlant de résultante des actions passées, tu parles de karma et de réincarnation et tend donc à appuyer la thèse de l’unicité : rien n’est blanc, rien n’est noir, les actions positives conduisent au bonheur, les actions négatives, au malheur, il n’y a pas de péché, juste une relation de causalité. Tout cohabite, le blanc comme le noir : si je souffre dans cette vie que j’aurais incarnée, j’ai dû causer de la souffrance lorsque j’étais incarné dans une vie antérieure. Et je peux changer ce karma en tentant de mener des actions bonnes … je dirais en étant plutôt en cohérence avec moi-même et avec l’univers car il n’y a pas vraiment de bonnes ni de mauvaises actions. :)
Les philosophes ont permit l’avénement de la science en réfutant les explications mythologiques. La science ne s’arrête jamais et certaines découvertes, à l’instar des philosophes, peuvent se révéler inadéquates au final. C’est pour cela qu’une thèse est toujours suivie d’une antithèse et enfin d’une synthèse. Rien n’est jamais 100% acquis (si ça l’est vraiment … au secours ! car ll s’agirait de toute puissance scientifique (d’un égo spirituel trop développé pour reprendre ce que je disais plus haut et cela peut entraîner de grave cas … je n‘en dirais pas plus pour éviter le point Godwin même si ça me vient en exemple, la toute puissance des religions en est une autre) et si la science progresse, certains faits restent inexplicables aujourd’hui. Tout est en évolution comme le mouvement de l’univers. Attention donc à ne pas ériger la science en dogme, en nouvelle religion, cela l’empêcherait d’évoluer… et de faire de nouvelles découvertes ce qui est sa fonction.
L’homme garde les pieds bien sur terre même si il peut avoir la tête dans les étoiles !
Merci beaucoup pour ta réaction !
Bn, la, je veux bien admettre qu’on est davantage dans le questionnement que dans la foi. C’est rassurant. J’att Voir de lire la suite (suus en réunion et je m’emmerde, donc je donc je réagis au compte gouttes)
En réponse au message de menxy :
Bn, la, je veux bien admettre qu’on est davantage dans le questionnement que dans la foi. C’est rassurant. J’att Voir de lire la suite (suus en réunion et je m’emmerde, donc je donc je réagis au compte gouttes)
Je ne vais pas répondre à ton attaque et entrer dans ce jeu pour satisfaire mon et ton petit égo :)
Toutefois, il me semble sage de tout de même répondre ceci :
Un forum de religion (et de philosophie ?) me semblait approprié pour proposer un débat sur la psychanalyse et ici en particulier des notions de psychothérapie analytique (psychanalyse jungienne).
Si ça peut te rassurer, si j'étais sectaire, je ne vous aurais pas mis en garde plus haut en évoquant le danger du gourou (il est vrai, sans le nommer) dans un de mes messages précédents, à savoir : "si le psy, le coach ou le thérapeute vous indique ce que vous devez faire, je rajoute, si il le fait pour vous pour que ce soit plus clair, alors, fuyez le !"
J'ai aussi parlé d'ouverture du champ des possibles et de danger du dogme, notamment scientifique en érigeant la science comme Vérité et donc en créant une nouvelle religion. Ce qu'au passage Freud a peut-être voulu faire puisqu'il intimait l'ordre de laisser la religion à la porte du cabinet et en même temps refusait de remettre en question la toute puissance de sa théorie, raison principale pour laquelle Jung, son "prince héritier" selon ses propres mots a rompu avec lui car il voulait ouvrir le champ des possibles. Lacan a emboité le pas a son mаîtге à penser, Freud, et sans discréditer la psychanalyse, en France, elle reste majoritairement toute puissante et dogmatique, encore enseignée à l'université alors que Jung ne l'est presque pas et reste assez inconnu même si cela change grâce notamment aux efforts de Michel Casenave et plus récemment de Frédéric Lenoir. Attention, je ne rejette pas Freud, il reste tout de même le père de la psychanalyse et un très brillant chercheur qui comme bien d'autres avant lui ont mis une claque à l'humanité l'invitant à se remettre en.question et à faire preuve d'humilité. L'homme, ce tout puissant conquérant, serait en fait la proie de son inconscient.
Jung a été plus loin, en élargissant le champ des possibles de l'inconscient et en restant en même temps très prudent. Il précise en effet dans "L'énergétique psychique" à propos des croyances en l'immortalité de l'âme et des esprits "je n'ai jamais moi-même pu en adopter une". Tout comme Jung, je ne vous y inciterai pas.
Ce n'est donc pas moi qui vais vous fournir une solution miracle, en jugeant votre ignorance et en vous invitant à rejoindre ceux qui savent car la fin des temps est proche, il y'a urgence, les pauvres paumés que vous êtes sont condamnés à disparaitre mais suivez le Маîtге et vous serez sauvé (mécanisme de recrutement des sectes).
Au contraire, à l'instar de Socrate, j'utilise le processus socratique et l'argumentation pour faire évoluer la discussion. N'est-ce pas ce que l'on attend d'un débat ?
Comme Socrate fut d'abord soupçonné puis accusé de corrompre la jeunesse, tu me soupçonnes (voire, m'accuses ?) d'être venu recruter pour un mouvement sectaire.
Au fond, c'est bien. Si tu es si virulent dans tes propos, c'est que ça t'interpelle et au point que tu veux couper court au champ des possibles et clôturer le débat en cherchant à empêcher les contres-arguments à ce que tu amènes comme éléments. Tu n'hésites pas non plus à utiliser l'impératif "Tu ne peux pas que" alors que je prends assez soin de préciser "du point de vue que, selon cette pensée, on peut dire que, je formule l'hypothèse que" À cela je pourrais donc répondre, je ne peux pas assurer que ce soit le cas mais toi le peux-tu ?
Je vais citer une de tes réponses qui m'a interpellé : "Le monde est multiple, et il est violente à cause de cela. Il n’y a pas d’unicité. Et elle n’est pas souhaitable." C'est formidable ! Tu précises "Et elle n'est pas souhaitable" Là, je pourrais formuler l'hypothèse que ton inconscient se révèle, que ton égo "spirituel" parle : Pourquoi l 'unicité n'est pas souhaitable ? Pourquoi ne pourrait-elle pas être au même titre qu'un autre concept ? Pourquoi ne pourrait-elle pas bénéficier du même doute ? Serait-ce parce que dans le fond et sans oser l'affirmer, TOI, tu souhaites, tu crois même, peut-être, qu'elle ne le soit pas ? La foi, c'est la confiance, la conviction. Je n'affirme pas que l'unicité est, par contre tu sembles affirmer que l'univers est ce que tu crois et que tout autre pensée ou argument n'est pas souhaitable. Merci pour cette profession de foi ! :p
La question est donc pourquoi cette réaction ? Par peur ? Par епvіе de pousser l'initiateur du sujet dans ses retranchements ? Par епvіе de comprendre et de progresser ou encore pour affirmer ta toute puissance ? Je n'en sais rien, toi seul le sait. :)
Je te renvoie cependant aux références que je cite : pour rappel, à Socrate, Lavoisier, Spinoza, Jung, Cazenave et Lenoir ainsi qu'à la physique quantique.
Non, je n'ai pas besoin de toi dans ma "secte" car pour intégrer la "secte" il est nécéssaire de penser par soi-même, de faire preuve de discernement et d'ouverture, d'expérimenter et de ne surtout pas rester sur ses acquis ni de gober les paroles de Celui qui Sait tout. :)
Je le répète encore une fois : tout n'est qu'hypothèse et celles-ci sont nécessaires pour progresser !
En réponse au message de menxy :
Toi, c’est ta faсulté a tout prendre au pied de la lettre qui me subjugue.
Il faut toujours t’expliquer l’ironie, la métaphore. Ici je me place du point de vue de mon interlocuteur, tel que je le ressens. C’est pas le mien. Fais un effort, quoi!
Pour exprimer l'ironie il existe des signes qui n'étaient pas présents dans ton commentaire, désolé... Donc avant de t'enflamer, remets toi en question !!! ?
En réponse au message de pifou :
très intéressante ta signification du karma, sans la psychothérapie et c'est a peu près ce que j'essaye de faire, trouver un équilibre après les réparations des erreurs passées
Le seul problème c'est que le mot correspond à une croyance religieuse très précise qui n'est pas ce qui est dit.
Le karma englobe toute action, pensée ou absence d'action et de pensée qui tend à perpétrer l'illusion de l'ego. Et encore je dis ça, j'ai pas mon encyclopédie sur le bouddhisme avec moi. Le karma est ce qui fabrique le monde dans un élan de coproduction conditionnée. Le cosmos en ressort tel un bazar cosmique organisé d'après le bouddhisme. Je suis toujours très circonspect quand les newageux reprennent des concepts traditionnels légitimes pour les tгаvеstіг dans un melting pot de croyances en tout genre. En gros c'est le souk !
En réponse au message de psy_cat :
Je ne vais pas répondre à ton attaque et entrer dans ce jeu pour satisfaire mon et ton petit égo :)
Toutefois, il me semble sage de tout de même répondre ceci :
Un forum de religion (et de philosophie ?) me semblait approprié pour proposer un débat sur la psychanalyse et ici en particulier des notions de psychothérapie analytique (psychanalyse jungienne).
Si ça peut te rassurer, si j'étais sectaire, je ne vous aurais pas mis en garde plus haut en évoquant le danger du gourou (il est vrai, sans le nommer) dans un de mes messages précédents, à savoir : "si le psy, le coach ou le thérapeute vous indique ce que vous devez faire, je rajoute, si il le fait pour vous pour que ce soit plus clair, alors, fuyez le !"
J'ai aussi parlé d'ouverture du champ des possibles et de danger du dogme, notamment scientifique en érigeant la science comme Vérité et donc en créant une nouvelle religion. Ce qu'au passage Freud a peut-être voulu faire puisqu'il intimait l'ordre de laisser la religion à la porte du cabinet et en même temps refusait de remettre en question la toute puissance de sa théorie, raison principale pour laquelle Jung, son "prince héritier" selon ses propres mots a rompu avec lui car il voulait ouvrir le champ des possibles. Lacan a emboité le pas a son mаîtге à penser, Freud, et sans discréditer la psychanalyse, en France, elle reste majoritairement toute puissante et dogmatique, encore enseignée à l'université alors que Jung ne l'est presque pas et reste assez inconnu même si cela change grâce notamment aux efforts de Michel Casenave et plus récemment de Frédéric Lenoir. Attention, je ne rejette pas Freud, il reste tout de même le père de la psychanalyse et un très brillant chercheur qui comme bien d'autres avant lui ont mis une claque à l'humanité l'invitant à se remettre en.question et à faire preuve d'humilité. L'homme, ce tout puissant conquérant, serait en fait la proie de son inconscient.
Jung a été plus loin, en élargissant le champ des possibles de l'inconscient et en restant en même temps très prudent. Il précise en effet dans "L'énergétique psychique" à propos des croyances en l'immortalité de l'âme et des esprits "je n'ai jamais moi-même pu en adopter une". Tout comme Jung, je ne vous y inciterai pas.
Ce n'est donc pas moi qui vais vous fournir une solution miracle, en jugeant votre ignorance et en vous invitant à rejoindre ceux qui savent car la fin des temps est proche, il y'a urgence, les pauvres paumés que vous êtes sont condamnés à disparaitre mais suivez le Маîtге et vous serez sauvé (mécanisme de recrutement des sectes).
Au contraire, à l'instar de Socrate, j'utilise le processus socratique et l'argumentation pour faire évoluer la discussion. N'est-ce pas ce que l'on attend d'un débat ?
Comme Socrate fut d'abord soupçonné puis accusé de corrompre la jeunesse, tu me soupçonnes (voire, m'accuses ?) d'être venu recruter pour un mouvement sectaire.
Au fond, c'est bien. Si tu es si virulent dans tes propos, c'est que ça t'interpelle et au point que tu veux couper court au champ des possibles et clôturer le débat en cherchant à empêcher les contres-arguments à ce que tu amènes comme éléments. Tu n'hésites pas non plus à utiliser l'impératif "Tu ne peux pas que" alors que je prends assez soin de préciser "du point de vue que, selon cette pensée, on peut dire que, je formule l'hypothèse que" À cela je pourrais donc répondre, je ne peux pas assurer que ce soit le cas mais toi le peux-tu ?
Je vais citer une de tes réponses qui m'a interpellé : "Le monde est multiple, et il est violente à cause de cela. Il n’y a pas d’unicité. Et elle n’est pas souhaitable." C'est formidable ! Tu précises "Et elle n'est pas souhaitable" Là, je pourrais formuler l'hypothèse que ton inconscient se révèle, que ton égo "spirituel" parle : Pourquoi l 'unicité n'est pas souhaitable ? Pourquoi ne pourrait-elle pas être au même titre qu'un autre concept ? Pourquoi ne pourrait-elle pas bénéficier du même doute ? Serait-ce parce que dans le fond et sans oser l'affirmer, TOI, tu souhaites, tu crois même, peut-être, qu'elle ne le soit pas ? La foi, c'est la confiance, la conviction. Je n'affirme pas que l'unicité est, par contre tu sembles affirmer que l'univers est ce que tu crois et que tout autre pensée ou argument n'est pas souhaitable. Merci pour cette profession de foi ! :p
La question est donc pourquoi cette réaction ? Par peur ? Par епvіе de pousser l'initiateur du sujet dans ses retranchements ? Par епvіе de comprendre et de progresser ou encore pour affirmer ta toute puissance ? Je n'en sais rien, toi seul le sait. :)
Je te renvoie cependant aux références que je cite : pour rappel, à Socrate, Lavoisier, Spinoza, Jung, Cazenave et Lenoir ainsi qu'à la physique quantique.
Non, je n'ai pas besoin de toi dans ma "secte" car pour intégrer la "secte" il est nécéssaire de penser par soi-même, de faire preuve de discernement et d'ouverture, d'expérimenter et de ne surtout pas rester sur ses acquis ni de gober les paroles de Celui qui Sait tout. :)
Je le répète encore une fois : tout n'est qu'hypothèse et celles-ci sont nécessaires pour progresser !
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