Sans tomber dans le "sensationnalisme", Ygg, j'estime à juste titre, que certaines professions nécessitent une totale transparence concernant l'état de santé du salarié.
Ils n’iront plus se faire soigner ; ou ils se soigneront eux-mêmes avec des anxiolytiques aussi frelatés qu’une vodka pskovienne à 18 roubles et 75 kopecks.
Je ne pense pas que l'on puisse décemment se soigner de cette manière, un dépressif voit son raisonnement altéré, y ajouter l'alcool ne fera qu'amplifier la pathologie, (l'alcool est déprimogène par nature), cela n'échappera pas aux collègues de cet homme, au risque de susciter des cris d'orfraie, évoquant le retour de la délation, je les inviterais fortement à signaler un comportement "déviant".
Dans une société, on ne peut pas se "la jouer perso", en mettant en avant les libertés individuelles, la sécurité DOIT prévaloir dans ce cas, qui souhaiterait mettre sa vie entre les mains d'un chirurgien qui a des problèmes d'alcool ?
Doit-on se contenter d'un simple certificat d'aptitude au poste ? Je réponds non, c'est totalement insuffisant.
Ceux qui souhaiteraient préserver avant tout leurs libertés peuvent toujours se reconvertir dans le commerce, ou toute activité ne mettant pas la vie d'autres personnes en jeu.
Un individu dépressif n'a PAS SA PLACE dans un соскpit.
Lui-même, doit en avoir conscience, le problème c'est qu'il est dépressif, son raisonnement est donc altéré.
Le président de la République est tenu (moralement) de publier son état de santé, si un Chef d'Etat le fait, le quidam devrait suivre l'exemple...
En outre, il faut en finir avec le syndrome PRISM, avec cette crainte d'être espionné de toute part, surtout lorsque par ailleurs, l'on raconte sa vie dans les moindres détails sur sa page FaceBook, un peu de cohérence.