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Vote (page 18) - Politique & Droits des homosexuels

Sujet de discussion : Vote
  • lesecrins Membre expérimenté
    lesecrins
    • 2 juillet 2024 à 22:29
    En réponse au message de pifou :

    ca vote RN dans les campagnes plus qu'en ville et il n'y a pas d'immigres la bas


    je vis en milieu rural ( sud isere ) , le RN est 11 points derriere la gauche et nous avons des migrants , des enfantsde migrants dans les ecoles menacéees de fermeture , des migrants hebergés dans des logements non sollicités ( oui , notre realité n est pas celle d une ville en terme de crise du logement )........................le RN est choisi plus pour la fermeture des services publics

  • 50_nuances_de_bi Membre suprême
    50_nuances_de_bi
    • 2 juillet 2024 à 22:41
    En réponse au message de pifou :

    ca vote RN dans les campagnes plus qu'en ville et il n'y a pas d'immigres la bas


    Pourquoi le r n fait 35 % à Mayotte et lfi d' énormes score en Seine Saint Denis ?

  • pifou Membre suprême
    pifou
    • 3 juillet 2024 à 06:02

    pour Mayotte et les quartiers de seine sait Denis ca parait évident

    moi je suis dans un département ou il n'y a aucun immigré dans certaines campagnes et le RN est a fond pourtant aucune délinquance ou presque et des services d'états dans les villages

    alors contre l'Europe mais il va falloir aussi que les paysans rendent des comptes, bloquer les routes et vider les camions de marchandises espagnols pour que deux semaines plus tard les mêmes s'allient avec les espagnols pour bloquer la frontière

    les politiques devront rendre des comptes aux gens comme nous qui sont plutôt modéré finalement dans nos visions des choses

  • menxy Membre élite
    menxy
    • 3 juillet 2024 à 21:31
    En réponse au message de pifou :

    je vais essayer de faire un topic qui ne sera pas un débat politique mais juste une démarche intellectuelle sur notre cheminement de pensée a l'occasion de ce vote législatif

    en fait nous nous foutons sur la gueule sans cesse a débattre des programmes de chaque parti alors que nous savons tous pertinemment qu'aucun ne sera appliqué et applicable en totalité

    la politique au sens strict du terme c'est la vie de la cité donc toutes personnes vivant dans celle ci fait de la politique même les abstentionnistes

    mon but étant de comprendre le cheminement intellectuel de chacun pour exprimer son choix incluant les abstentionnistes et j'ouvrirai le bal

    peut être qu'en se comprenant mieux les débats seront plus sereins a l'avenir ou pas


    Ouh, même ta démarche est risquée. Mais j’y rep9nd avec рlаіsіг, au moins, y’a débat.


    La politique, c’est compliqué. Je la comprend pas mal, ma8 ce ne serait pas un métier pour moi, j’aurais sans doute la patience de chercher des solutions aux problèmes complexes, mais pas celui de manœuvrer pour me saisir et garder le pouvoir. Le petites hypocrisies, les promesses intenables, les fausses vérités, ou faire passer des vessies pour des lanternes, tourner autour du pot, ça me tape un brin sur les nerfs. Pour faire de la politique, il me semble qu’il vaut mieux, hélas, être un brin malhonnête. Je prétend pas être un saint, mais je suis pas assez pourri pour anticiper toutes les pourritures qu’on pourrait me faire.


    C’est donc un métier difficile, où chaque décision est risquée. Je ne reprocherai donc jamais un politique d’échouer dans ce qu’il tente de faire. Reste à savoir ce qu’il veut faire, pourquoi, et comment.


    il ne faut pas juste аvаlег ce qu’on nous sert tout cuit sur les réseaux sociaux, il faut lire plusieurs articles, contradictoires, d’organismes / médias / experts reconnus qui documentent, vérifient tout ce qu’ils affirment et usent du conditionnel pour exprimer des hypothèses (sans se borner aux seules qui arrangent).


    La décision politique, c’est une affaire de problèmes à savoir écouter, de causes a savoir identifier, de renseignement à savoir analyser, des personnes a savoir juger, de confiance à accorder, de risques à assumer. D’autant que certains cas nécessitent la réactivité quand d’autres demandent le temps de la concertation. Il faut donc une certaine dose d’intelligence, d’énergie, de mesure et de courage pour se lancer dans cet exercice.


    c’est donc pas seulement une question de couleur politique, de valeurs ou d’intérêts mais aussi de contextes « géconolopolitiques », et de personnalités. Et c’est là que devient difficile le métier d’électeur, car il s’agit de jauger tous ces paramètres. Qui est crédible pour quel mandat? Qui saura à la fois respecter ses interlocuteurs, ses adversaires, tout en ayant l’autorité pour tenir une ligne?


    Parlons des trois derniers président, qui n’ont connus qu’une popularité relative. Sarkozy avait une carrure présidentielle, il était volontariste, mais bling bling, parfois vulgaire et trempé jusqu’à la moelle dans pléthore d’affaires douteuses.


    Hollande, était sans aucune doute un président bienveillant. Mais bon… flamby, quoi! Ça résume tout. Même une môme de 13 ans, sans papiers, l’a mouché comme un vulgaire morveux. La crédibilité de la France en a pris un coup à l’international!


    Et Macron! Alors lui, il va faire longtemps parler de lui dans les cours d’histoires, et pas en bien! On ne peut sûrement pas lui reprocher sa stature. Il sait se montrer autoritaire, il a aussi la volonté farouche de trouver de solutions et surtout de les appliquer. Il est le président des crises gilets jaunes, covid et émeutes, Nahel, montée du RN… son septennat à été violent.


    Mais son volontarisme en justement la principale cause. Ni mou, ni bling bling, il est le président narcissique. Celui qui se croit l’Elu, au secours de la France et du monde. Il n’est confiant qu’en son seul talent, au point qu’il décide seul d’une dissolution après avoir INFORMÉ par un bref message téléphonique les trois autres présidents qu’il était supposé consulter. Bien que les trois lui ai tous déconseillé une telle entreprise, il n’en a eu cure. La décision était prise certainement avant, sans même son premier ministre pourtant aussi directement concerné puisque son poste en dépend.


    Il décide de TOUT, veut tout savoir et contrôler, ne laisse de marge de manœuvre à aucun de ses ministres. Ses adversaires, les syndicats, les petites gens… il les méprisent, les renvoyant à leurs rêves, leur inculture, leur pauvreté. La fonction publique, des gens fainéants et coûteux qu’il massacre en nommant des personnes aussi pédantes et autoritaires que lui. Pour finalement dépenser des milliards en cabinets de conseil appartenant à ses proches. Sans compter que les problèmes, il veut bien les résoudre, mais il s’est surtout dépêché de résoudre ceux des plus riches. Il a fait du quoi qu’il en coûte… à la classe moyenne!


    C’est un homme qui ne. s’est pas lancé en politique pour redresser la France. Ce qu’il n’a pas fait, d’ailleurs. C’est un homme qui a voulu le pouvoir, servir l’argent, montrer qu’il était seul capable contre tous, avec la collaboration ԁосіlе de certains. Il a voulu créer autours de lui seul un gros bloc centriste, créant par la même occasion deux autres blocs radicaux, au lieu des 9 principales nuances. La gauche est désormais majoritairement melenchoniste, la droite majoritairement leрепіste. C’est son œuvre: après avoir promis d’être un rempart contre le chaos, il a été le marche-pied de ses formations, l’exhausteur de ces valeurs, allant jusqu’à presidentiabiliser un gamin sans ехрéгіепсе, dont le seul mérite est d’être jeune, beau gosse et un peu éloquent mais qui n’orchestre rien. Une image, une vitrine, voilà ce qu’il faut pour susciter l’adhésion désormais.


    A sa décharge, il faut admettre qu’il doit l’accession au pouvoir par la déception inspirée par ses prédécesseurs qui ont donc aussi une responsabilité. Et l’absence totale de candidat crédible aux présidentielles de 2017. Juppé aurait pu, mais il s’est drapé dans son orgueil de « рlап B ». Aurait il mieux fait? Pas forcément, on ne saura jamais. Mais il aurait sans doute moins clivé, moins exalté les colères et les haines.


    Voilà mon analyse, donnée sans conseil de vote. Nous avons désormais 3 blocs radicaux, voire extrémistes. Ça ne laisse aucune place aux nuances. Et c’est pourtant de ça dont est faite la France. Je ne suis pas en colère contre ceux qui se tournent vers des colériques ou des haineux, puisqu’il ne reste plus que ça.


    Pour ma part, j’ai longtemps été persuadé que le centre devait naturellement, logiquement, être la principale force politique d’un pays. Parce que c’est la seule position qui s’efforce de trouver un équilibre entre les aspirations de chacun. Mais fédérer n’est pas imposer, ce n’est pas mépriser. C’est par définition de la collégialité, du partage de responsabilité. Or les décisions sont prises par une seule personne, qui s’attribue tout le mérite des réussites et rejette la responsabilité des échecs sur les autres, et d’en rajouter en organisant une crise politique juste avant un événement majeur suivi par la terre entière, au risque de le ruiner par des émeutes plus que probables. Ça ne peut qu’excéder.


    Je ne sais pas qui détient la solution à cette crise que nous traversons et qui arrive à son paroxysme (j’espère). Il y a la dette, l’environnement, le proche orient, les russes, l’inflation, la souveraineté alimentaire, médicamenteuse, électronique… Je n’ai pas non plus beaucoup d’argument à opposer à ceux qui nous disent que les partis classiques sont responsables de la situation actuelle. Mais j’ai quand même une remarque: les politiques veulent vos voix, et pour les obtenir vous promettront toujours ce que vous avez d’entendre. Si vous voulez sortir de ce cercle infernal, il faut penser INTÉRÊTS COLLECTIFS. Ce qui signifie de mettre de côté certaines aspirations personnelles, cesser de réclamer toujours plus pour soi et cesser de trop compter sur les politiques. Je vote depuis plus 20 ans. Je n’ai jamais été déçu par un gouvernement. Atterré, mais pas déçu et j’ai pourtant connu des galères. Mais je n’ai jamais rien attendu des politiques que l’organisation de l’état. Mon compte, mon toit, mon ventre, c’est mon affaire, ma seule responsabilité. J’ai eu des petit coups de pouce de proches dans les molent difficiles, j’ai donné des coups de pouce à d’autres à je continue. Penser à soi est normal quand on est dans la survie, mais même la survie ne doit pas dispenser d’être solidaire. C’est l’individualité qui nous fout dedans!

  • sim.s-heart Légende urbaine
    sim.s-heart
    • 3 juillet 2024 à 21:45
    En réponse au message de menxy :

    Ouh, même ta démarche est risquée. Mais j’y rep9nd avec рlаіsіг, au moins, y’a débat.


    La politique, c’est compliqué. Je la comprend pas mal, ma8 ce ne serait pas un métier pour moi, j’aurais sans doute la patience de chercher des solutions aux problèmes complexes, mais pas celui de manœuvrer pour me saisir et garder le pouvoir. Le petites hypocrisies, les promesses intenables, les fausses vérités, ou faire passer des vessies pour des lanternes, tourner autour du pot, ça me tape un brin sur les nerfs. Pour faire de la politique, il me semble qu’il vaut mieux, hélas, être un brin malhonnête. Je prétend pas être un saint, mais je suis pas assez pourri pour anticiper toutes les pourritures qu’on pourrait me faire.


    C’est donc un métier difficile, où chaque décision est risquée. Je ne reprocherai donc jamais un politique d’échouer dans ce qu’il tente de faire. Reste à savoir ce qu’il veut faire, pourquoi, et comment.


    il ne faut pas juste аvаlег ce qu’on nous sert tout cuit sur les réseaux sociaux, il faut lire plusieurs articles, contradictoires, d’organismes / médias / experts reconnus qui documentent, vérifient tout ce qu’ils affirment et usent du conditionnel pour exprimer des hypothèses (sans se borner aux seules qui arrangent).


    La décision politique, c’est une affaire de problèmes à savoir écouter, de causes a savoir identifier, de renseignement à savoir analyser, des personnes a savoir juger, de confiance à accorder, de risques à assumer. D’autant que certains cas nécessitent la réactivité quand d’autres demandent le temps de la concertation. Il faut donc une certaine dose d’intelligence, d’énergie, de mesure et de courage pour se lancer dans cet exercice.


    c’est donc pas seulement une question de couleur politique, de valeurs ou d’intérêts mais aussi de contextes « géconolopolitiques », et de personnalités. Et c’est là que devient difficile le métier d’électeur, car il s’agit de jauger tous ces paramètres. Qui est crédible pour quel mandat? Qui saura à la fois respecter ses interlocuteurs, ses adversaires, tout en ayant l’autorité pour tenir une ligne?


    Parlons des trois derniers président, qui n’ont connus qu’une popularité relative. Sarkozy avait une carrure présidentielle, il était volontariste, mais bling bling, parfois vulgaire et trempé jusqu’à la moelle dans pléthore d’affaires douteuses.


    Hollande, était sans aucune doute un président bienveillant. Mais bon… flamby, quoi! Ça résume tout. Même une môme de 13 ans, sans papiers, l’a mouché comme un vulgaire morveux. La crédibilité de la France en a pris un coup à l’international!


    Et Macron! Alors lui, il va faire longtemps parler de lui dans les cours d’histoires, et pas en bien! On ne peut sûrement pas lui reprocher sa stature. Il sait se montrer autoritaire, il a aussi la volonté farouche de trouver de solutions et surtout de les appliquer. Il est le président des crises gilets jaunes, covid et émeutes, Nahel, montée du RN… son septennat à été violent.


    Mais son volontarisme en justement la principale cause. Ni mou, ni bling bling, il est le président narcissique. Celui qui se croit l’Elu, au secours de la France et du monde. Il n’est confiant qu’en son seul talent, au point qu’il décide seul d’une dissolution après avoir INFORMÉ par un bref message téléphonique les trois autres présidents qu’il était supposé consulter. Bien que les trois lui ai tous déconseillé une telle entreprise, il n’en a eu cure. La décision était prise certainement avant, sans même son premier ministre pourtant aussi directement concerné puisque son poste en dépend.


    Il décide de TOUT, veut tout savoir et contrôler, ne laisse de marge de manœuvre à aucun de ses ministres. Ses adversaires, les syndicats, les petites gens… il les méprisent, les renvoyant à leurs rêves, leur inculture, leur pauvreté. La fonction publique, des gens fainéants et coûteux qu’il massacre en nommant des personnes aussi pédantes et autoritaires que lui. Pour finalement dépenser des milliards en cabinets de conseil appartenant à ses proches. Sans compter que les problèmes, il veut bien les résoudre, mais il s’est surtout dépêché de résoudre ceux des plus riches. Il a fait du quoi qu’il en coûte… à la classe moyenne!


    C’est un homme qui ne. s’est pas lancé en politique pour redresser la France. Ce qu’il n’a pas fait, d’ailleurs. C’est un homme qui a voulu le pouvoir, servir l’argent, montrer qu’il était seul capable contre tous, avec la collaboration ԁосіlе de certains. Il a voulu créer autours de lui seul un gros bloc centriste, créant par la même occasion deux autres blocs radicaux, au lieu des 9 principales nuances. La gauche est désormais majoritairement melenchoniste, la droite majoritairement leрепіste. C’est son œuvre: après avoir promis d’être un rempart contre le chaos, il a été le marche-pied de ses formations, l’exhausteur de ces valeurs, allant jusqu’à presidentiabiliser un gamin sans ехрéгіепсе, dont le seul mérite est d’être jeune, beau gosse et un peu éloquent mais qui n’orchestre rien. Une image, une vitrine, voilà ce qu’il faut pour susciter l’adhésion désormais.


    A sa décharge, il faut admettre qu’il doit l’accession au pouvoir par la déception inspirée par ses prédécesseurs qui ont donc aussi une responsabilité. Et l’absence totale de candidat crédible aux présidentielles de 2017. Juppé aurait pu, mais il s’est drapé dans son orgueil de « рlап B ». Aurait il mieux fait? Pas forcément, on ne saura jamais. Mais il aurait sans doute moins clivé, moins exalté les colères et les haines.


    Voilà mon analyse, donnée sans conseil de vote. Nous avons désormais 3 blocs radicaux, voire extrémistes. Ça ne laisse aucune place aux nuances. Et c’est pourtant de ça dont est faite la France. Je ne suis pas en colère contre ceux qui se tournent vers des colériques ou des haineux, puisqu’il ne reste plus que ça.


    Pour ma part, j’ai longtemps été persuadé que le centre devait naturellement, logiquement, être la principale force politique d’un pays. Parce que c’est la seule position qui s’efforce de trouver un équilibre entre les aspirations de chacun. Mais fédérer n’est pas imposer, ce n’est pas mépriser. C’est par définition de la collégialité, du partage de responsabilité. Or les décisions sont prises par une seule personne, qui s’attribue tout le mérite des réussites et rejette la responsabilité des échecs sur les autres, et d’en rajouter en organisant une crise politique juste avant un événement majeur suivi par la terre entière, au risque de le ruiner par des émeutes plus que probables. Ça ne peut qu’excéder.


    Je ne sais pas qui détient la solution à cette crise que nous traversons et qui arrive à son paroxysme (j’espère). Il y a la dette, l’environnement, le proche orient, les russes, l’inflation, la souveraineté alimentaire, médicamenteuse, électronique… Je n’ai pas non plus beaucoup d’argument à opposer à ceux qui nous disent que les partis classiques sont responsables de la situation actuelle. Mais j’ai quand même une remarque: les politiques veulent vos voix, et pour les obtenir vous promettront toujours ce que vous avez d’entendre. Si vous voulez sortir de ce cercle infernal, il faut penser INTÉRÊTS COLLECTIFS. Ce qui signifie de mettre de côté certaines aspirations personnelles, cesser de réclamer toujours plus pour soi et cesser de trop compter sur les politiques. Je vote depuis plus 20 ans. Je n’ai jamais été déçu par un gouvernement. Atterré, mais pas déçu et j’ai pourtant connu des galères. Mais je n’ai jamais rien attendu des politiques que l’organisation de l’état. Mon compte, mon toit, mon ventre, c’est mon affaire, ma seule responsabilité. J’ai eu des petit coups de pouce de proches dans les molent difficiles, j’ai donné des coups de pouce à d’autres à je continue. Penser à soi est normal quand on est dans la survie, mais même la survie ne doit pas dispenser d’être solidaire. C’est l’individualité qui nous fout dedans!


    On n'en voit plus la fin !!! 🙄😂😂😂

  • menxy Membre élite
    menxy
    • 3 juillet 2024 à 21:53
    En réponse au message de pifou :

    je te suis aussi sur ton avis, les sondages influence trop les gens


    Il me semble surtout que les sondages influencent les indécis. Pour ma part je suis pour. Comme je le disais au dessus, il me semble primordial de mettre de côté ses intérêts pour regarder les intérêts du plus grand nombre. Ce qui n’est pas toujours évident, mais un candidat trop partisan part déjà avec un handicap pour ma part.

    Le sondage permet de savoir qui est donné favori. Il influence sans doute, mais il est extrêmement difficile de dire en faveur de qui. Les sondages permettent à certains soit de conforter leur idées, soit au contraire ne choisir leurs priorités. Si on sait que le favori est le candidat qu’on veut surtout pas voir au pouvoir, alors on va voter davantage pour le ou les candidats qui auront le plus de chance de le rancarder. Cela pousse donc les gens à ne pas trop rester centrés sur leurs seules préoccupations.

  • menxy Membre élite
    menxy
    • 3 juillet 2024 à 22:18
    En réponse au message de sim.s-heart :

    Mais je n'ai même pas l'intention de de "me battre" je suis plutôt désolé pour lui qu'il ait eu l'idée de ce vote et je suis même choqué qu'un gay issu de l'immigration ait pu faire ça !!! 😌


    Tu ne connais pas son histoire. Ou juste les bribes qu’il a bien voulu en donner. Je n’ai pas la même ехрéгіепсе que lui avec les musulmans, j’en connais quelques un. Certains ont été des аmапts, c’est dire que je ne suis pas tombé sur des fanatiques.

    Mais c’est pas l’extrême droite que nous mettra a l’abris de l’islamisme. C’est une chimère de le croire. Au contraire plus tu ostracisés, plus tu encourages le ressenti à ton égard, donc tu pousses les populations concernées vers le radicalisme. Le serpent se mord la ԛuеuе.

  • sim.s-heart Légende urbaine
    sim.s-heart
    • 3 juillet 2024 à 22:22
    En réponse au message de menxy :

    Tu ne connais pas son histoire. Ou juste les bribes qu’il a bien voulu en donner. Je n’ai pas la même ехрéгіепсе que lui avec les musulmans, j’en connais quelques un. Certains ont été des аmапts, c’est dire que je ne suis pas tombé sur des fanatiques.

    Mais c’est pas l’extrême droite que nous mettra a l’abris de l’islamisme. C’est une chimère de le croire. Au contraire plus tu ostracisés, plus tu encourages le ressenti à ton égard, donc tu pousses les populations concernées vers le radicalisme. Le serpent se mord la ԛuеuе.


    Je sais bien tout ça et j'arrive pas à comprendre comment ce parti peut faire tant d'adeptes, surtout dans certaines "catégories" !!! 🙄

  • menxy Membre élite
    menxy
    • 3 juillet 2024 à 22:28
    En réponse au message de angelirryc :

    surtout qu'il y a beaucoup de français issus de l'immigration dans ce parti plus que l'on ne croit ! dire qu'il n'y a que des français de pure souche c'est un argument fallacieux et erroné , on parle même d'extrême droite de certains gouvernants de pays du proche orient , faut voir comment le terme est dévoyé et que cela rend tout débat stérile ^ ^


    Si tu vas sur ce terrain, Hitler n’était ni allemand, ni blond aux yeux bleus, ni grand. Et pourtant il défendait la supériorité de la race aryenne. Le sentiment d’appartenance n’est pas l’appartenance. On a vite fait d’oublier d’où on vient quand on veut se laisser porter par le vent.

  • sim.s-heart Légende urbaine
    sim.s-heart
    • 3 juillet 2024 à 22:29
    En réponse au message de menxy :

    Si tu vas sur ce terrain, Hitler n’était ni allemand, ni blond aux yeux bleus, ni grand. Et pourtant il défendait la supériorité de la race aryenne. Le sentiment d’appartenance n’est pas l’appartenance. On a vite fait d’oublier d’où on vient quand on veut se laisser porter par le vent.


    Tout à fait 👍

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